(+18)Discuter avec la tentation, c'est être sur le point d'y céder

 

Rien n’est égal à ce qu’il te fait ressentir, rien n’a su te comblée de la sorte, il est la clef de ton coeur, de ton corps, de ton âme, de ton esprit, il est l’unique détenteur de cette clef et tu ne sais pas si un jour tu seras en mesure de lui reprendre où d’en faire une double, toi tout ce que tu veux tout ce que tu souhaite réellement c’est lui… Mais la vie t’a bien appris qu’il est souvent impossible d’avoir tout ce qu’on veut et Warren est ce qui est impossible, tu le sais…

Ce moment avec lui est si spéciale, si intense, si profond que tu ne te rends pas compte des secondes, des minutes qui défile tu ne saurais même pas dire combien de temps votre intimité se bergotte, tu  ne pourrais pas donner un temps à ce moment puisque tu as l’impression d’être dans une sphère qui a arrêter le temps. Chaque mouvement de reins, de bassin, chaque grognement de sa part t’ont volé des gémissements uniques, une sensation spéciale, ce moment avec lui est pur, rare, aussi précieux qu’un diamant.
Connecté, sur la même longueur d'onde, rien ne gâche votre feel… Il est parfait ses mains sur ton corps ne cesse à te faire vibrer, c’est intense, c’est bon, délicieux, tu te délectes de ce moment si bien que tu viens à gémir plus profondément, tes parois se crispe contre son engin encore présent en toi et ton corps est en proie à l’extase. Ton bouton de plaisir explose sous ses frottement ce qui libère en toi une foule de crépitement plus intense les uns que les autres te parcourir, tu jouis comme tu n’as pas joui depuis bien trop longtemps, cette jouissance t’apporte sérénité, bien être, joie ainsi qu’une saveur qui vous est propre, sa salive est au goût des anges.

Essoufflé, cette mélodie digne des plus belles œuvres musicales vient de prendre fin, il s’allonge à tes côtés et toi tu te colles directement à lui afin de le sentir, de profiter encore un peu de ses bras, de cette bulle dans laquelle tu es. Ce qui vient de se passer, ce que tu viens de ressentir tu ne le ressentiras avec personne d'autre puisque chaque acte, chaque sentiment à une trajectoire différente alors tu profites de cet instant qui sera éphémère tu en es certaine… Il va finir par se lever et disparaître que ce soit maintenant ou au petit matin, il va partir et te reléguer à la case d’amie… Mais tu assumeras cela tout en gardant un arrière goût de cette nuit passer en sa compagnie. Ta main sur son torse, tu lui caresses doucement alors que tu viens de lui dire que tout cela t’a manqué, tu souris en l’entendant te dire que tu lui as également manqué, non énormément manquer… Ton coeur s’emballe et semble vouloir s’accrocher a un espoir, petit baiser sur la tête avant de venir se caler sur tes lips, tu réponds à son baiser qui est une sources d’espoir, d’envie, de passion et d’amour, ta langue danse avec la sienne se slow qu’elles ont apprivoiser, ce slow unique qui leurs correspondent.

Sa main sur ta joue, ton regard plonge dans le sien, tu pourrais y nager des heures tellement tu aimes te perdre dans ses iris, ton regard lui parle, il lui communique ce que tu ressens sans aucune pudeur, tu l’aimes, tu l’aimes comme au premier jour les années passés, les épreuves encaisser non rien changer à cet amour que tu ne contrôles pas… Il t’a manqué au point où tu as pensé en crever plus d’une fois. Il murmure sur tes lèvres et il ne se rend pas compte de ce qu’il vient de dire parce que toi cette phrase tu l’as prend pas pour l’instant non, tu l’as prend au sens de la vie parce que oui Julia tu aimerais qu’il reste à tes côtés pour toujours, pour l’éternité et bien après encore. Tu le laisses s’installer tranquillement tandis que viens davantage te coller à lui contre son torse, tu pose la tête sur sa poitrine écoutant alors le doux battement de son palpitant et tu viens à lui murmurer à ton tour << Alors reste >> ta phrase n’est pas précise, mais parfois il est important de lire entre les lignes puisque cette phrase lui demande non seulement de rester, mais également de rester pour toujours. Tu viens de lui demander de rester avec toi, de te choisir, mais tu doutes que le message soit passé, tu doutes véritablement qu’il comprenne tes dires. (Je pouvais pas être plus explicite sinon ça fausse la Cosca).

Ta jambe s’enroule à la sienne manière de faire comprendre que tu ne souhaites pas le voir partir et qu’il est le bienvenue dans ton lit pour la nuit - Pour la vie-  tandis que le bout de tes doigts caresse doucement le centre de son torse. Doucement, tu fermes les paupières te sentant incroyablement bien d’ailleurs tu n’as jamais été aussi bien qu’actuellement.

 

Nuit magique, nuit fantastique, divine, mémorable, tu ne pourras jamais rien oublier de cette nuit où vos corps se sont retrouvés, se sont caresser, vos âmes se sont nourris l’une de l'autre sans aucune retenue si bien que tu as fini par t’endormir dans ses bras… Doux bien être, doux confort as-tu ressenti lors de cette nuit coller à lui parce oui, tu ne t’es pas détaché un seul instant, tu t’es collé à lui, ta jambe est restée enroulée dans la sienne et ta tête est restée contre son torse… Toi qui ne dors d’ordinaire jamais coller serré, tu as changé bien des choses lors de cette nuit spéciale… Unique… Et la seule et unique chose qui l’a rendu si spéciale, si unique c’est lui… Warren.

Le retrouver ne serait-ce que pour quelques heures, minutes, secondes, tu n’y croyais plus puisqu’il aurait dû être l’homme d’une autre et bien que tu n’as pas été peiné d’apprendre sa rupture avec Atti’, tu n’en as pas moins été surprise face à l’erreur de l’homme que tu idéalises depuis toujours, mais cette erreur toi, tu l’as vois comme une bénédiction parce qu’elle l’a mené à toi et même si une fois de plus tu te retrouvera dans la catégorie ‘Ami déjà utilisé’, tu as entièrement aduler ce moment exceptionnel.

Tête contre lui, poitrine contre son flanc, bassin contre bassin, jambe enroulée à la sienne, tu ne bouges pas alors que les premiers rayons de soleil réchauffent doucement la chambre… Souhaitant que ce moment ne prenne jamais fin, tu ne bouge pas d’un poil, ta respiration est calme, posée si bien qu’elle est inaudible, tu savoures, tu profites, tu mémorises ce sentiment que tu ressens… Peur de le voir s’en aller tu n’oses lever la tête pour le regarder, effrayé par la réalité tu n’oses pas l’affronter… C’est la sonnerie de son portable qui ramène la réalité au galop et toi tu n’espères qu’une seule chose qu’il repousse encore un peu cette fatalité qui va vous séparer.

Tes espoirs s'évaporent en quelques secondes puisqu’il se redresse te forçant ainsi à quitter ses bras et son contact, tu le regardes faire et tu mordilles l’intérieur de ta joue alors que tu es toi aussi redresser par le biais de tes coudes enfoncé dans le matelas. Tu l’entends, il n’est pas en joie d’être appelé aussi matinalement, l’espoir qu’il reste revient titiller le coin de ton esprit, mais cela part en fumer au moment où il prononce le mot ‘venir’, tu le regardes toujours alors que tu as pleinement conscience que ce moment s’arrête là. Téléphone à la main, tu le photographies du regard pour ne pas oublier la forme de ses épaules, les traits de ses muscles, le rebondis de ses fesses, tu le photographies en battement des cils afin de compléter ton album souvenir qu’est ta mémoire. Il raccroche et se tourne vers toi, sa petite mou te vole un petit sourire bien que tu aurais apprécié qu’il reste et qu’il repousse tout pour faire de toi une priorité tu comprends puisque tu es infirmière et que tu peux également être bipper à tout moment si les choses deviennent catastrophique << Je comprends >> dis-tu doucement d’une petite voix encore parsemer du brouillard qu’à déposer morphée.

Tu le vois s’approcher de toi, il prend ton visage entre ses mains et il presse ses lèvres contre les tiennes avant de te faire part de ses excuses, tu souris comme toujours, tu comprends, tu le comprends << Ce n’est pas grave, va sauver le monde >> dis-tu doucement laissant alors la conversation de hier soir revenir en mémoire puisque tu soulignes par ses mots qu’il a été ton héros hier soir puisqu’il t’a sauver d’un lourdingue << Les sauveur n’ont pas de répit >> ajoutes-tu doucement  en tirant le drap sur ton corps pour te couvrir correctement non pas par pudeur, mais par froid… Tu viens de quitter son corps, ses bras et voilà que ton côté frileuse revient au galop, il dépose un baiser sur ton front qui souligne qu’il te protège parce que c’est la définition même de ce baiser.

Doucement, tu te lèves du lit en tirant avec toi le drap pour rester enroulé dedans, tu te baisses ramassant le haut de celui-ci << Je crois que c’est à toi >> dis-tu en lui lançant doucement, regard sur lui tu n’as qu’une seule envie - Bah va s’y demande lui… Demande lui si tu n’étais qu’un plan d’un soir où si c’est plus ! Va s’y Julia ouvre ta grande bouche, c'est le moment ! - tu as envie de savoir, mais tu ne demandes rien simplement parce que tu n’es pas prête à entendre que tout cela n’était rien d’autre qu’un moment d’égarement.

Tu le laisses se rhabiller et doucement tu l’accompagnes à la porte de ton appartement une fois celui-ci dehors tu te colles contre la porte d’entrée et tu soupires en fermant les yeux venant à jurée contre toi-même << Idiote >>... c’est ce que tu penses de toi en ce moment même non pas parce que tu as coucher avec lui, mais parce que tu l’as laissé partir sans rien lui dire, sans rien lui avouer. Tu rejoins ta fenêtre ou tu décales le store pour le regarder monter dans sa voiture puis tu le vois démarrer et s’éloigner, long soupir tu retournes vers ton lit où tu te places à l'endroit où il a passer la nuit posant ta tête sur l’oreiller qu’il a utiliser cherchant ainsi son odeur qui en quelques heures ses imprégner, mais qui tu le sais en quelques minutes finira pas s’évaporer.