+ 18 Julia & Dag - Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 @Julia Hollingsworth  

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 Allongé sur son lit, Dag fixe le plafond alors que cette femme dont il ne connaît le prénom dort profondément contre son torse, elle bouge pour se mettre sur le côté et il finit par se lever observant le corps dénudé de la femme qu’il a souillé une bonne partie de la fin de la nuit. Il n’est pas à se poser des questions sur qui elle peut-être où ce qu’elle peut vouloir, aujourd’hui tant qu’il peut prendre du bon temps et se vider régulièrement, le reste et ce qu’elles sont, il s’en fout complètement loin de lui l’envie de taper la causette avec elle, lui ce qu’il cherche c’est simplement de prendre du bon temps, il ne cherche pas à se caser. Au bout de quelques secondes, il se glisse sous la douche laissant couler l’eau chaude sur son corps avant d’entendre son téléphone sonné. Il passe une simple serviette autour de sa taille pour aller répondre, il échange avec son père pendant un moment avant qu’il finisse par accepter sa demande concernant le fait d’aller voir l’une de ses locataires qui aurait des soucis avec la plomberie… Dire qu’il n’a pas pensé à un truc tordu dans sa tête, c’est mentir mais il n’accepte pas cela pour ça.

Dag accepte car son père est vieux et qu’il ne peut pas le faire lui même, il n’a jamais vraiment été proche de lui mais aujourd’hui, il fait des efforts là-dessus, il prend régulièrement des nouvelles et comme souvent, il en abuse comme ce matin alors qu’il ne rêvait que d’une chose pouvoir se glisser à nouveau entre les cuisses de cette femme avant de la mettre dehors. Il raccroche alors qu’il se doute qu’une fois qu’il aura fini de s’occuper de je ne sais quoi chez Julia Hollingsworth, il sera l’heure pour lui d’aller au club et préparer la soirée qui s’annonce, il l’espère, une soirée sous le signe de l’eau et le feu. “Lève toi, il faut que je bouge” Dag laisse son regard sur la femme qui émerge “On se voit ce soir ?” Il l’observe faisant non de la tête “Surement pas, aller dépêche toi s’il te plait, j’ai une urgence” Il le sait, il pourrait être plus cool avec elle mais là ça le fait réellement chier de devoir jouer les plombiers.

Une fois la femme partie, il s’habille passant un simple jean et une chemise blanche, il en prépare une en cas de besoin qu’il plie pour mettre dans sa voiture, puis il quitte sa demeure au bord du lac pour rejoindre l’appartement de Julia. Une fois sur place, il frappe à la porte attendant que cette femme qu'il connait depuis des années maintenant lui ouvre la porte, il y a un truc qu'il ne comprend pas chez elle, il la trouve superficielle mais ne peut nier qu’elle est plutôt pas mal. Quand il se trouve devant elle, il soupire alors que son regard parcourt son corps si parfaitement dessiner, puis il lève ses iris pour venir les planter dans cette de la jeune femme. “Mon père m’envoie pour je ne sais trop quelle fuite ! Il t'arrive quoi ?” Dag finit par entrer dans l’appartement qui appartient à son père et la suit jusque dans la cuisine.

Il pose tout au sol venant remonter ses manches et il commence à regarder, il se prend la tête avec un des tuyaux, il soupire en voyant que tout est vieux et qu’il y a longtemps que tout aurait dû être changé. Il jure avant de tourner la tête pour la regarder alors qu’elle est entrain de manger des cochonneries, car oui c’est des cochonneries… “Si tu penses faire mieux, ne te gêne pas ! “ Il finit par se redresser pour planter son regard dans la magnifique nymphe qui se trouve à ses côtés. “ça fait combien de temps que t’es là ? Mon père n’a jamais pensé à tout changer là-dessous ?” Dag l’observe attendant d’en savoir un peu plus sur la fuite, il bascule doucement la tête pour mieux la regarder affichant un léger sourire. Il ne peut nier que cette femme à quelque chose de mystérieux, un truc qu’il n’a pas découvert pour le moment et pour cause, cela ne va faire qu’une heure qu’il est ici…. enfin un peu plus mais ce n’est pas grave, pour le moment, il est là dans un seul but… pour le moment…

 @Julia Hollingsworth  

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 Debout devant cette porte, Dag ne sait pas quoi penser, cette femme, il l’a trouvé jusqu’à présent superficielle et pourtant il n’a jamais pris réellement le temps de discuter avec elle, de prendre du temps pour savoir ce qu’elle avait dans la tête. Ils se connaissent depuis un moment maintenant et il n’est pas imbécile celui qui aurait remarqué que la créature devant lui était folle de Warren, du moins c’est ce qui était ressorti de toute cette histoire. Dag est toujours sous l’évier, tout est pourri là-dessous et il ne comprend pas que son pere n’ait rien fait pour que la demoiselle présente en ses lieux puisse avoir un logement digne. Quand elle le pique au vif, il tourne se redresse venant planter ses iris dans le sien, il l’observe ressentant pour la première fois ce je ne sais quoi chez elle, un mystère de plus qui apparaît chez cette femme. Il fronce les yeux alors qu’elle vient lui répondre sur son père, il laisse échapper un long soupire « il fait chier » oui Dag parle de son père, son père est un homme qui aime que tout soit droit dans sa vie et celle de son fils mais en dehors de ça il ne fait plus rien. Dag est en colère contre son père, tout aurait été plus simple s’il avait fait les travaux demandés.

Il l’observe avant de sourire légèrement, sourire qu’il ne perd pas quand elle lui lance cette remarque, son regard glisse le long de son corps avant de revenir planter ses iris dans celle de la divine créature devant lui. « M’amuser…. Non ! J’ai beau être un con fini à tes yeux, j’ai un minimum de respect ! » Dag la suit du regard cette femme l’exaspère, pourtant son côté sauvage lui plaît chose qu’il découvre alors qu’elle se trouve dans la même pièce que lui et qu’il n’avait jamais vraiment fait attention. Il se pousse sous son geste avant de la voir se glisser sous l’évier, son regard glisse une fois de plus sur ses formes si bien mises en avant, il s’arrête sur ses fesses dessiner à la perfection, ses fesses que seul un sculpteur expérimenté aurait pu tailler dans la roche. Il reste un moment à la regarder ainsi, c’est la première fois qu’il la regarde réellement, c’est la première fois qu’il prend le temps avec elle même si là ce n’est qu’à cause de son problème de tuyauterie. Il revient à la réalité quand elle reprend sa place, il glisse une main sur son visage et attrape son téléphone après ses paroles. « C’est moi, comment ça se fait que t’as pas fait faire les travaux dans l’appartement de Julia ? T’es sérieux ? Arrête de me prendre pour un con, tout est pourri… j’en ai rien à foutre c’est pas réparable… Tu sais quoi laisse tomber, je vais gérer ça… me fais pas chier Pa’ c’est pas le moment. Non je passe pas après ni demain… Ouai salut »

Sa main glisse sur son visage, son père est de plus en plus instable à ses yeux, il se demande s’il ne devrait pas gérer lui-même ses affaires surtout quand on voit le résultat. Il attrape la bière qu’elle lui donne, ce n’est pas sa boisson favorite mais il ne va pas faire son chiant.   « Merci c’est trop aimable de ta part » il laisse échapper un léger soupire alors qu’il se rend compte du ton qu’il a employé envers la jeune femme, cette fois-ci elle n’y est pour rien dans l’incompétence du père de ce dernier « excuse moi, tu n’es pour rien dans tout ce merdier, je vais voir ce qu’il est possible de faire pour toi » le ton est différent cette fois-ci, même s’il y a toujours eu cette joute verbale entre elle et lui, en aucun cas cette fois-ci la façon dont ses mots ont quitté ses lèvres n’auraient dû être dit sur ce ton accablant. Il remonte la bière pour la remercier venant porter la bouteille jusqu’à ses lèvres afin d’en prendre une légère gorgée. Dag attrape de nouveau son téléphone pour appeler une connaissance qui avait tout refait le club, il échange explique ce qu’il se passe alors que sans s’en rendre compte son regard reste planter dans celui de la femme qui se trouve face à lui. Il l’observe tout en répondant que c’est vraiment une urgence que tout pète. C’est au même moment qu’un bruit étrange se fait entendre sous l’évier.

Dag quitte les rubis de Julia pour regarder l’évier avant qu’une déferlante d’eau jaillit de partout. Il annonce rapidement ce qu’il se passe avant de raccrocher quand l’homme annonce qu’il viendra demain matin à la première heure. Dag pose son téléphone sur le comptoir alors qu’il attrape une serviette histoire de colmater un peu la fuite le temps qu’elle puisse couper l’eau se retrouvant complètement trempé. « tu peux aller couper l’eau s’il te plaît sinon c’est plus un appart que tu vas avoir mais une piscine » On ne peut nier que la situation est plutôt marrante et cocasses mais là il se retrouve complètement trempé alors qu’il doit aller au club après et elle pareil bien qu’il ne sache pas si elle avait prévu quelque chose après ou pas.. Quand l’eau s’arrête, il laisse échapper un léger soupire de soulagement venant à se redresser et regardant tous les dégâts, sa chemise blanche est quasi transparente et lui colle à la peau, il soupire alors qu’il lève son regard sur la sirène qui revient et qui est aussi ou presque aussi trempé que lui le laissant découvrir un peu plus ses formes divines. L’espace d’un instant, il se surprend à admirer l’œuvre face à lui car oui elle est une œuvre parfaite en tout point, le sculpteur a pris un plaisir fou à parfaire la moindre ligne, la moindre courbe, ne laissant rien au hasard voulant faire de son corps un parfait ensemble pouvant faire craquer le plus imbécile des hommes. « bon…. Quelqu’un va venir demain matin pour voir ce qu’il y a à faire… je suis désolé que mon père n’est pas fait les travaux à temps…. »

Il soupire avant de regarder autour de lui « Tu as des serviettes ? Je vais t’aider à nettoyer avant que ça te bousille ton mobilier, j’peux déjà faire ça… » il revient sur la magnifique femme face à lui ne se préoccupant plus du froid de sa chemise contre son corps…

 @Julia Hollingsworth  

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 Face à cette femme qu’il connait depuis maintenant plusieurs années, il n’a qu’une envie partir au plus vite d’ici. Il ne l’a jamais regardé, il ne lui a jamais réellement parlé, il n’a jamais cherché à en savoir plus sur elle, dès le départ il y a eu un truc qui n’est pas spécialement passé, c’est ce qu’il se dit mais aujourd’hui, il ne sait pas alors qu’il se trouve face à elle, il la regarde autrement malgré les joutes verbales qui fusent de tous les côtés sans vraiment que tout soit calculé. ça m’aurait étonné du contraire” dit-il alors qu’il lève l’arcade sourcilière. Cela a toujours été ainsi bien qu’il a souvent fait des efforts préférant ne pas la calculer pour ne pas être trop acerbe avec elle. Il est ainsi, elle est comme ça aussi et c’est peut-être ce qui fait que leur relation est compliquée à comprendre alors que tous s’entendent relativement bien. Là devant elle, il se demande comment son père a pu faire pour laisser les choses s’envenimaient de la sorte, il ne comprend pas comment on peut laisser un locataire vivre dans ce genre de logement avec tout ce qu’il y a autour.

Alors qu’elle se trouve sous l’évier pour la première fois réellement il ose la regarder, il ose admirer la courbure de ses reins, elle aurait été quelqu’un d’autre, il ne peut nier qu’il serait déjà là à remonter sa robe pour venir descendre son dessous et dans un geste rapide venir la prendre afin qu’elle soit à sa merci mais là… là c’est Julia… Il la laisse se relever venant à téléphoner à son père comme toujours ça ne se passe pas très bien, comme toujours il n’en fait qu’à sa tête. Alors il finit par raccrocher et prendre les choses en main puis il la remercie à sa façon pour la bière avant de s’excuser, il avait beau être comme il a toujours été avec elle, cette fois-ci, il savait que le ton employé n’avait rien à voir avec toutes les joutes déjà faites dans le passé. Son regard reste un moment sur Julia, il la découvre réellement pour la première, il la trouve captivante, mystérieuse, il se demande dans un sens ce qui se cache derrière la facette qu’elle se donne parfois.

Elle est de ces femmes qui au fond n’ont rien à envier aux autres dû moin physiquement pour le moment parce qu’il ne sait pas encore ce qu’il se cache à l’intérieur, parfois il suffit juste de gratter un peu pour découvrir que le premier abord est toujours trompeur. Il boit une gorgée de la bière qu’elle vient de lui donner puis il passe à nouveau un coup de téléphone, la conversation est rapide et les choses sont vites réglées surtout quand un bruit sourd se fait entendre et que de l’eau jaillit de partout. Dag raccroche puis il attrape une serviette pour éviter qu’il n’y ait trop d’eau avant de lui demander d’aller couper l’eau. Quand elle revient, il ne peut s’empêcher de faire couler son regard sur les courbes de la nymphe face à lui “Oui c’est bon” La vision qu’elle lui offre est des plus agréables encore plus avec cette robe qui la colle laissant entrevoire sans tout divulguer la forme de ses dessous.

Dag finit par regarder autour d’eux avant de baisser la tête pour se regarder, il allait devoir repasser chez lui s’il voulait aller au club ce soir. Il soupire avant de lui dire que quelqu’un passera le lendemain, il valait mieux que ce soit réparé rapidement pour éviter de devoir faire jouer les assurances à cause de soucis d’eau. Quand il la voit partir, il la suit du regard avant de rire en la voyant revenir. “Tu devrais en garder une pour t’essuyer un peu tu risques de choper la crève” Il rigole légèrement par la situation de la voir cacher, ses iris viennent se planter dans le sien, il l’observe un moment, le silence est de mise dans l’appartement sans qu’ils ne puissent le contrôler et pourtant l’air est étrange, il a une drôle d’impression, une impression qu’il n’a jamais eu envers elle. “Je ne suis pas obligé mais c’est la faute de mon père donc il est normal que je t’aide un minimum pour éviter des dégâts sur tes meubles.”

Il lui sourit venant attraper une serviette derrière elle, son bras la frôle, une sensation étrange le parcourt, il se redresse planter ses iris dans les siennes, il regretterait presque que l’eau n’ait pas plus souillé ses vêtements… “Je veux bien te croire, déjà une présence que tu ne supportes pas puis cette fuite…” Il sourit, rien n’a été dit sur un mauvais ton bien au contraire Il finit par se détacher d’elle pour poser la serviette qu’il venait de prendre pour la poser sur le sol sous l'évier. “Pour le moment celle-là je te conseille de la laisser dessous, on ne sait jamais même si l’eau est coupée…” Il se redresse faisant quelques pas vers elle pour attraper une nouvelle serviette il s’essuie doucement le visage et passe la serviette dans ses cheveux avant de regarder sa chemise complètement trempée. “Avoue que tu as calculé ton coup, c’était fait exprès” Pour la première fois, il la taquine, il la provoque mais dans comme avant. Il se met à rire puis il laisse son regard parcourir l’oeuvre d’art qu’elle est. “Tu devrais aller te changer, tu vas vraiment finir par choper un rhume ou pire, je vais éponger un peu”

@Dagnýr Taygart

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

Si tu devais chercher pourquoi ta relation avec Dag n’a jamais aboutie a quelque chose d’agréable tu ne serais pas capable de le dire, peut être étais-tu trop jeune à l’époque pour qu’il t’accepte dans le groupe où alors peut être étais-tu une peste sans cervelle et cette animosité à persévérer avec le temps ? Sincèrement, tu n’en as aucune idée toi ce que tu sais dans la finalité c’est que votre relation est un véritable nuancier de couleur grisâtre et qu’il est arrivé plusieurs fois d'entendre des personnes vous dire de ne pas commencer… Alors oui avec le temps et les années, tu as appris l’ignorance et lui aussi et jusqu’ici cela te convenait parfaitement. Naturellement, tu lui dis ce que tu penses et sa réponse n’est que réaliste puisque tu sais qu’il n’est pas étonné en même temps qui le serait ? Tu ne peux cependant pas t’empêcher de sourire face à sa remarque au moins il sait parfaitement que tu as du répondant, il sait également que tu n’es pas une femme qui se laisse descendre en flèche par des commentaires désagréables.

Sous l’évier, tu es loin de t’imaginer les pensées du brun ténébreux qui selon toi ne t’est jamais regardé d’ailleurs maintenant que tu y penses, tu t’es autrefois demandé s’il n’était pas simplement gay puisque tu ne l’as jamais vu courtiser une seule fille du groupe, mais il s’est avéré que non enfin bon nous ne sommes tout de même pas à l’abri qu’il soit un gay refoulé ! Après tout, quel genre d’homme ne laisse pas son regard parcourir tes courbes ? Tant bien ton visage ne serait pas à leurs goûts, ton corps lui c’est une autre histoire ! Certaine que l’homme présent dans ta cuisine ne te porte absolument aucun intérêt tu ne te prives pas pour passer sous l’évier lui offrant ainsi une vue imprenable sur ta souplesse, ta cambrure et la ligne de tes courbes quand tu te redresses et que tu uses d’une constatation évidente il sort son portable. Tu le laisses gérer ses affaires sans pour autant faire la sourde oreille, tu écoutes, tu enregistres ce qu’il dit, mais tu remarques surtout l’agacement dans sa voix…

Il raccroche et il te remercie, le temps d’un instant tu en es reste bête puisque tu ne t’attendais pas à entendre ce genre de mot sortir de sa bouche - ça bouche on en parle ?- - chut toi, retourne dans ton coin- la petite voix qu’est ta raison présente dans ta tête renvoie au coin ton autre petite voix. Tu restes agréablement surprise de constater que sa bouche n’est pas uniquement un crachat de venin. Le regard sur lui, tu le regardes, tu prends le temps d'apprécier chaque ligne, chaque cicatrice, chaque parcelle de son visage qui est en mesure de te raconter son histoire. Il part une fois de plus dans une communication téléphonique et toi ? Toi, tu restes là à le regarder, à juger de ton regard l’homme qui est en face de toi… Tu remets en question ce que tu as toujours pensé de lui alors que tu n’aurais jamais pensé le faire.

C’est la fontaine qui gicle dans tous les recoins de la cuisine qui vous ramène à la cause de sa venu et il se comporte tel qu’un homme le ferait, il réagit ! Il n’attend pas, il attrape ce torchon serviette et il rentre dans le tas venant combattre cette fuite de ses propres mains. Aussi fou que cela puisse être tu trouves cette attitude incroyablement sexy -OK, faut vraiment que tu baises Jul’ ça va plus là- t'assomme la petite voix dans ta tête, mais elle a probablement raison qui a-t-il de sexy dans une fuite d’eau ? Telle une apprentie, tu suis les ordres de ton maître et tu cours fermer le compteur d’eau à ton retour tu lui demandes si c’est bon et quand il te répond tu es rassurée puisqu’il aurait été atroce que le compteur soit lui aussi défectueux.

Ton regard ne tarde pas à glisser sur sa chemise juste bonne à être essorée, tu te retrouves captivé par ce qui se dessine sous ton regard, il te demande des serviettes et toi, tu pars simplement en cherchant revenant alors sous une pile de serviettes qui te cache littéralement, tu l’entends rire et tu te surprends à trouver cette mélodie agréable, tu poses tout sur la table en disant que tu as que ça et lui, il ne fait que penser à ton bien être puisqu’il te conseille d’en prendre une pour t’éviter de choper la crève. A-t-il toujours été aussi prévenant ? Tu ne pourras pas répondre à cette question, mais une fois de plus il te surprend… Le silence prend place dans la pièce et pourtant tu ne ressens aucun poids, non tout est léger, tout est simple, tout est naturel… Étrange.

Il reprend la conversation alors que vos regards sont toujours en contact et il te dit qu’il t’aidera même si cela ne lui est pas obligé… Tout en le regardant, tu te demandes qui est cet homme parce que tu ne penses pas que cet homme soit le Dag que tu connaisses, ce n’est pas possible… Il est bien trop différent… Aurais-tu été aussi aveugle ?  

Il se déplace et vient prendre une serviette derrière toi venant frôler ton bras et tu le sens ce courant te parcourir - non, non c’est pas lui, tu as juste besoin de t’envoyer en l’air- penses-tu alors comme pour justifier ce que tu viens de ressentir sous ce frôlement. Plonger dans les profondeurs de ses pupilles,  tu sens crépité en toi les braises d’un incendie en phase de démarrage, tu regretterais presque que l’eau soit coupée puisqu’il s’agit la de Dag !  Afin de rendre ce moment moins étrange pour toi tu lances sur un ton d’humour, un ton que tu n’as jamais utilisé avec lui que tu ne pouvais pas espérer mieux comme soirée évidemment c’est ironique, mais tu le prends bien malgré la situation qui est désastreuse de toute manière t'énerver servirait à quoi ? Sa réponse te fait rire doucement et tes yeux confirment ses dires << je me demande limite ce que j’ai fait pour mériter un karma pareil >> tu souris, tu ris Jul toi même tu ne sais pas ce qu’il t’arrive… Est-ce que le fait est que vous soyez seuls, sans le regard de personne sur vous ? Sans le regard de Warren ? Cela pourrait être l’explication…

Il vient à poser cette serviette pour la mettre sous l’évier et tu écarquilles les yeux en entendant ses propos << me porte pas la poisse s’il te plait >> dis-tu les yeux ronds comme des billes << non parce que si ça pète en plein milieu de la nuit c’est toi que j’appelle hein et pas de chance, je sais où tu habites si tu ne viens pas >> dis-tu amuser en le regardant s’essuyer le visage - oh bordel même en faisant ça il est beau - tu le regardes, tu ne fais que ça - ferme la bouche, arrête de baver, serre les cuisses ma grande, on parle de Dag là- te dis-tu alors que tu l’entends t’accuser d’avoir tout prévu, tu lèves un sourcil mettant une main sur ta hanche << bien sûr, je rêvais tellement de te voir totalement trempée dans ma cuisine c'était mon fantasme et je dois dire que je n’ai pas de regret… >> le regard sur lui tu ajoutes à ta phrase pour ne pas laisser d'ambiguïté rendre l’atmosphère encore plus étrange qu'elle ne l’est déjà << j’ai réussi mon coup >> dis-tu en souriant en coin, tu vois son regard parcourir ton corps, mais là encore tu n’imagines pas que tu sois en mesure de lui plaire… Naïve, es-tu. Tu baisses la tête pour te regarder et tu grimaces doucement << je reviens tout de suite  >> tu pars doucement vers ta chambre où tu te changes enfilant alors un jogging rapidement et un débardeur noir tenue qui ne ressemble a rien sur bien des femmes, mais sur toi ? C’est tout autre chose de toute manière Jul’ tu pourrais bien te vêtir d’un sac poubelle que cela t’embêlirai.

Tu reviens dans la cuisine et tu le vois en train d’éponger le sol de ta cuisine, tu le regardes un instant, observant son profil, observant la courbe de son nez… C’est lorsqu’il te remarque que tu reviens les pieds sur terre et que tu lui tends des affaires << j’ai ça si tu veux… C’était à Marcus… Mais il ne l’a jamais porté… >> Marcus, ton ex-fiancé, cet homme qui t’a lâchement humilié par son infidélité découverte le jour J alors que tout le monde était sur les bancs de l’église, Dag était là lui aussi ce jour-là, il a été spectateur de ton humiliation, de ta droite phénoménale que personne n'oubliera et de ta chute… Tu souris les lèvres pincées << Fin', je peux mettre tes vêtements au sèche-linge en attendant et tu les auras dans une heure… C’est comme tu veux >> dis-tu alors en lui tendant un t-shirt noir et un bas de jogging étrangement similaire au tien, mais qui évidemment est pour homme.
 

 @Julia Hollingsworth  

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 Un regard… l’ombre du doute qui s’installe, une remise en question sur un passé pourtant bien présent, une découverte, une envie irrésistible d’en savoir plus et de laisser ce torrent de questions quitter ses lèvres pour apprendre à en connaître plus sur la femme qui se trouve face à lui. Aujourd’hui son regard sans le comprendre venait de changer, il ne peut nier qu’il avait déjà remarqué qu’elle était jolie mais voilà c’était le mot… jolie et rien de plus. Là maintenant, Dag regrette de ne pas être ce sculpteur qui voudrait parfaire son œuvre déjà si parfaite. Il se passe quoi là maintenant ? Il n’a jamais observé cette femme comme il est entrain de le faire, il n’a jamais cherché plus peut-être à cause de Warren ? Il n’en sait rien mais la…. Il quitte ses songes bien trop présent laissant ses prunelles sur la femme devant lui alors qu’il est en plein échange avec son père. Sa mâchoire se crispe, son père devient de plus en plus sénile ou alors il en joue afin qu’il soit toujours là pour lui contrairement à son frère qui n’a pas donné signe de vie depuis un petit moment maintenant. Il raccroche, il est plus que sûr qu’il va devoir regarder au plus près les contrats de location aussi afin de vérifier qu’il n’a pas fait n’importe quoi et voir s’il y a des travaux à effectuer.

Les appels s’enchaînent, à plusieurs reprises ses iris se posent sur cette femme aux courbes parfaite, ça en devient étrange cette façon dont il est entrain de la regarder. Première fois qu’il désire d’une certaine façon cette femme car plus il l’observe plus il se dit que ce qu’il a été con de ne pas avoir creusé un peu plus sous la couche d’argile de cette plantureuse sculpture qu’elle est à ses yeux. Heureuse coïncidence ou mauvais timings -quoi que- l’eau gicle dans toute la cuisine inondant une partie de la pièce mais aussi les deux personnes présentes dans la pièce. Il prend rapidement les devants, lui demandant de couper l’eau afin d’éviter encore plus de dégâts dans l’appartement. Il est en colère après son père mais dans un sens ne faudrait-il pas le remercier de lui avoir permis de découvrir que Julia n’avait rien avec ce qu’il pensait d’elle ? Et encore.. il n’a pas encore été au plus profond d’elle -façon de parler ? - Il lui demande d’aller chercher des serviettes et ne peut s’empêcher de rire en la voyant revenir, elle le fait rire… étrange… la pression qu’il avait en arrivant est partie comme si elle avait été brûlée par le sourire de cette femme, par son regard de braise qu’elle a… non il n’est pas entrain de la désirer là… son regard glisse sur ses courbes avant de revenir dans son regard… merde si… c’est bien ce qu’il est entrain de faire… il s’avance, attrape une serviette venant la frôler son bras. Ses poils se dressent sur son bras sous cet effet, il se mordille l’intérieur de sa joue avant de se redresser plantant ses iris dans celle de la charmante créature qui se trouve bien trop proche de lui.

Il répond sur le karma de la soirée, il sourit alors que le ton qu’ils emploient tous les deux est bien différent, il se dit que dans un sens cela a été une bonne chose, cela a permi de voir qu’elle était loin d’être cette femme qu’il s’imaginait. « j’avoue que t’as pas de chance là.. » il rigole légèrement avant d’attraper la serviette pour la mettre sous l’évier lui disant qu’elle ne devrait pas l’enlever. Il rigole à sa remarque sur le fait qu’elle pourrait venir chez lui si ça venait à péter une nouvelle fois. «  qui te dis que ce n’ai pas ce que j’attends » provocation ? Certainement… mais ses mots sont sortis naturellement, ses mots ont été dit comme quand il est avec les autres, comme quand parfois il est avec les femmes qu’il désire mais étrangement elle… elle est différente, c’est différent… Dag poursuit en disant qu’elle l’avait fait exprès et sa réponse le fait sourire, leur joute verbale est loin d’être comme dans le passé, un brin provocateur, un brin chercheur et tentant de voir qui pourrait en dire plus encore. « je le savais, tu caches bien ton jeu Julia… » dit-il en faisant un pas vers elle tout en s’essuyant le visage alors qu’il ruisselle encore de l’eau qui s’écoule de ses cheveux. Il la laisse aller se changer et commence à nettoyer le sol, il fait attention à tout avant de se lever quand il entend ses paroles.

Son regard se plante dans le sien l’espace de quelques secondes puis il observe sa tenue même la dedans elle reste cette œuvre totalement parfaite. « sexy… » murmure t’il en le pensant réellement. Il regarde les vêtements qu’elle lui tend et les pose sur le comptoir sec, il est surpris et soulagé aussi que son ex ne les a jamais portés. Il se souvient de ce jour, il avait été traîné par ses amis à son mariage, il était resté en retrait alors qu’il observait la scène, il n’avait rien dit ce jour là, le ramenant à ce jour où il devait faire sa demande en mariage et où personne n’était venue, il n’a jamais parlé de ça aux autres seul Rick est au courant de ce qu’il voulait faire et du fait qu’elle est partie sans donner signe de vie. Il a préféré dire qu’ils avaient rompu ne voulant pas que l’on s’apitoie sur son sort. Il avait souri en la voyant frapper l’homme mais il s’était tu pour la laisser gérer avec les autres… oui il est toujours resté dans l’ombre préférant les joutes verbales et la laisser à Warren que d’apprendre à la connaître réellement. Doucement il déboutonne sa chemise, il n’a jamais été quelqu’un de pudique et puis là il n’y a pas d’arrière pensée ? Si ?  «  Merci je veux bien surtout que je suis censé aller au club un peu plus tard pour voir comment ça se passe »  Son regard dans le sien, il retire sa chemise venant la poser doucement, il essuie son torse avant d’attraper le t-shirt et de le passer prenant soin de ne pas le faire tomber sur son pantalon et boxer mouillés.

« Comment ça se fait que tu ais encore ses vêtements de cet abruti ? » Dag n’arrive pas à détourner son regard de cette femme, elle l’envoûte d’une façon incontrôlable, d’une façon dont il a du mal à se contrôler. Ses mains glissent jusqu’à sa ceinture s’apprêtant à retirer son bas ici mais rapidement il se rend compte de ce qu’il est entrain de faire. « Bon je ne suis pas pudique mais je ne suis pas sûr que tu désires me voir a poile chez toi le temps de me changer. Tu peux me montrer la salle de bain s’il te plaît ? » Il rigole doucement mais cette fois c’est une marque de respect envers elle, un respect qu’il découvre tout comme cette envie d’en savoir plus, cette envie de la connaître sous toutes les coutures et ce désir naissant pour elle…

@Dagnýr Taygart

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 Ce qui se passe actuellement dans ta cuisine n’a absolument aucun sens puisque tu ressens une sorte de désir pour un homme que tu n’as jamais réussi à encadrer, le pourquoi n’a finalement pas d’importance cela date d’il y a bien trop longtemps pour que ton cerveau parvienne à mettre le point… Mais tu sais que tu le connais depuis toujours pour cause des photos de lui et de la bande traînent encore dans les albums familiaux et leurs activités préférées de l’époque ? Construire des pâtés de sable pour prendre plaisir à les détruires ensuite, tout ça pour dire qu’il a comme les autres connues toutes les étapes de ta vie, il t’a vu avec ton appareil dentaire et le fleurissage d’acné… Il t’a vu comme tout le monde sauf que lui tu ne l’as jamais laisser passer la porte de ton intimité, tu ne t’es jamais confier à lui, tu n’as jamais été vulnérable devant sa personne simplement parce que tu ne l’as jamais laisser passer cette barrière, tu l’as toujours laisser sur le côté sans remettre ton jugement en question.

Mais ce soir les choses ont changé puisque tu es là à le regarder et à te demander si tu as été aveugle face à cet homme qui a non seulement un physique à faire perdre la tête a bien des femmes, mais qui semble finalement avoir un fond plus plaisant que ce que tu pensais jusqu’ici… Est-ce que cette remise en question est dû au fait que vous êtes seule dans ton appartement ? Parce qu’aucun regard n’est sur vous… Tu ne sais pas Jul’, mais tu sais que personne ne vous aurait juger si toutefois vos piques s'étaient transformer en relation plus amicale, personne n’aurait rien dit puisqu’avec les copains tout est léger enfin presque… Tu sais parfaitement pourquoi tu penses cela… Alors le souci serait Warren ? Te bloquerais-tu Jul sans même t’en rendre compte ? Sincèrement, tu auras bon tourner en rond toutes ses questions dans en boucle tu sais que tu n’en auras jamais les réponses… Et finalement ce qui compte, c’est ce qui se passe maintenant…

Et ce qui se passe est loin d’être normal, non seulement ça ne vous ressemble pas, mais tu n’es pas du genre à vibrer aussi facilement… Le seul qui sait te faire vibrer a tout les coups c'est Warren… pourtant… tu as ressenti ce courant électrique te parcourir le bras pour se glisser le long de ta colonne vertébrale… Tu expliques cela sous un besoin intense de plaisir charnel, oui ça ne peut qu’être ça… Lui ou un autre, le contact aurait eu le même effet, oui voilà c’est exactement ça !

Tu te convaincs de tout ce bordel Jul’, non parce que sérieusement la vie serait réellement la pire des garces si elle venait à te faire un coup pareil après tout… Dag est comme tous les autres interdits pour toi et pour cause tu es la petite sœur de James… La petite sœur qu’on ne touche pas… Tu le sais, la question du respect reviendrait sur le tapis, oui oui tu connais parfaitement ce que la conscience peut faire… Pour cause, tu es sur le banc de touche depuis des années…

C’est n’importe quoi véritablement n’importe quoi, mais toi tu aimes ce bordel qui s’installe doucement, le regard sur lui tu soulèves cette histoire de Karma, il sourit si bien que les douces pâte doigt précédemment remarquer viennent à remonter sur le coin de son oeil ce qui lui ajoute un charme nouveau, tu souris à ton tour quand il te dit que tu n’as pas de chance… ça tu le sais Jul’ depuis bien longtemps maintenant. Il rit, il pourrait le faire s’en s’arrêter puisque tu aimes entendre le roque de sa voix s'entremêler dans son rire. Tu le regardes mettre cette serviette sous l’évier et tu lui dis de ne pas te porter la poisse puisque c’est lui que tu appelles si tout pète pendant la nuit pire encore tu sais où il habite si toutefois il use de la carte ignorance en voyant ton numéro s’afficher, sa réponse tu ne t’y attendais pas, mais elle te plait, tu penches doucement la tête en le regardant tandis que ton sourire soutient cette provocation qu’il vient tout juste de lancer  << Je pourrais venir pour bien d’autres raisons >> -ok, c’est le moment où tu lui attrape le bras et que tu le fous dehors ! Parce que là, c’est ridicule Ju’- hurle ta raison dans un coin de ta tête, tu mordilles l'intérieur de ta joue en assumant parfaitement tes paroles puisque tu ne le quittes pas des yeux. C’est le genre de parole que tu pourrais balancer à Warren, mais là c’est Dag et… c’est… différent.

Il poursuit en disant que tu avais prévue ton coup afin de l'attirer ici pour le voir totalement trempé et toi, tu continues ce petit jeu malsain qui s’installe entre vous en lui répondant qu’il est évident que tout était programmé et que fantasmer sur sa personne trempé et puis voilà que tu l’as sort cette phrase ambiguë qui précise  que tu n’as pas de regret et tu sais que tu as dit cela pour souligner que tu aimes ce que tu découvres, tu tentes de te rattaper en disant que tu as réussi ton coup histoire de faire passer cette histoire de regret sous la joie d’avoir réussi ses accusations, mais bon… S’il n’est pas tout à fait con, il doit avoir compris que tu le trouves séduisant dans un tel état d’autant plus que ton regard n’arrête pas de le parcourir en long comme en travers.

Sourire aux lèvres, tu ris << Tu n’as pas idée de tout ce que cache >> ambiguë quand tu nous tiens, tu te reprends un peu venant à dire alors << Appelle moi Jul’ s’il te plait >> tu n’aimes pas quand on utilise la totalité de ton prénom ça te donne toujours l’impression qu’une tuile, une dispute, va te tomber sur le coin de la tête. Tu te doutes qu’il ta probablement toujours appeler par la totalité de ton prénom, mais ce soir tu lui ouvres une porte en lui donnant le droit de t’appeler Jul’ comme tout le monde le fait et si ce n’est pas Jul’ alors c’est sous Juju ou sous Ju’ que tu te reconnais.

Sous cette note de nouveauté, tu quittes la cuisine pour rejoindre ta chambre où tu te changes rapidement en enfilant probablement le seul et unique jogging qui se trouve dans ton armoire, mais pour faire ce que tu dois faire cela ira largement. Tu reviens donc vêtue d’un jogging et d’un débardeur noir et malgré la simplicité de cette tenue tes courbes ressortent à la perfection te mettant en valeur. Son regard se plante directement dans le tien, tu vois ses pupilles glisser sur ta tenue et toi tu te dis qu’il doit être surpris de te voir en jogging puisque tu n’en mets jamais pour ne pas dire jamais… Tu l’entends murmurer quelques choses qui n’arrive pas totalement à tes oreilles, tu fronces légèrement les sourcils te demandant ce qu’il a murmuré, mais tu ne lui demandes pas probablement parce qu’il a le droit de parler dans sa barbe et que tu n’es personne pour lui demander le fond de ses pensées.  

Tu lui tends des vêtements et tu précises qu’ils appartenait à Marcus cet homme dont tu n’as pas besoin d’identifier puisqu’il le connaît comme tout les autres le connaissait, c’est ça les groupes d’amis ont accepte les copains et les copines de tout le monde et quand tout se termine et bien on se soutient, tu précises également qu’il n’a jamais porté ses vêtements .Il commence à déboutonner sa chemise - Allez Jul’ on se tourne ! On matte pas, on bave pas - tu parles, tu ne bouge pas, tu le regardes défaire bouton après bouton -ferme les yeux Julia ! - gueule ta raison, mais tu ne l'écoutes toujours pas, voilà il est là le problème c’est que tu ne l’écoutes jamais, mais ce que tu vois, ce que tu découvres… Woah non, un torse pareil tu t’en souviendrais si tu avais eu le plaisir de le voir  avant ce soir !! Non ? … Il est différent de Warren, c’est plus que certain, il est plus grand, plus fin, mais bordel… Son torse est taillé comme une tablette de chocolat et toi Jul’ tu aimes le chocolat, tu adores le chocolat…

Il parle de Marcus et tu souris venant à lui dire << Bah j’ai prévue mon coup du coup fallait bien que j’ai de quoi te changer >> tu reprends la conversation précédente celle où il t’a accuser d’avoir fait exprès pour le voir mouillé d’ailleurs tu regrettes presque de ne pas l’avoir fait exprès plutôt, tu secoues doucement la tête et tu viens à lui dire << Oh, c’était un cadeau, un délire entre nous… Marc disait que le mariage déclenche les soirées à la maison vêtue de jogging dans lesquelles ont ne ressemble à rien alors j’avais suivi cette connerie et j’avais acheté deux joggings similaire pour qu’on ne ressemble à rien ensemble… Je ne lui ai jamais donné puisque nous, nous sommes jamais mariés … >> tu pinces tes lèvres face à ce souvenir qui reste douloureux non pas par la perte d’un amour, mais par la trahison et l’humiliation… Tu baisses un peu la tête cachant un peu cette honte que tu ressens toujours après tout si celui-ci était partie ailleurs c’est que tu n’avais pas fait ton travail correctement du moins c’est ce que tu penses… D’autant plus qu’il avait trouvé réconfort non loin puisque c’est dans les bras de ta meilleure amie celle qui complétait le trio qu’il s’est plongée…

Tu relèves la tête quand tu entends sa ceinture, tu poses tes noisettes sur son corps et tu écarquilles les yeux quand tu remarques qu’il vient de te voir en train de le regarder, en train d’attendre qu’il se déshabille. Non tu n’as pas fait ça ? Bah si, c’est exactement ce qui vient de se passer, tu clignes des yeux plusieurs fois en disant rapidement comme pour balayer cette gêne << Oui, oui, la salle de bain évidement, elle est juste à droite de la cuisine par là  >> dis-tu en lui montrant la directement de la salle de bain. Tu le regardes quitter la pièce et tu te tapes doucement le front en disant à haute voix << Blonde >> tu t’insultes toi-même de blonde une insulte qui souligne ta stupidité, tu secoues la tête face à ton manque de discrétion et tu sors du placard l’aspirateur à eau que tu as acheté plutôt dans la journée au moins celui-ci sera largement rentabilisé. Tu remontes les jambes du jogging pour ne pas qu’elles viennent à prendre l’eau et tu commences a aspiré l’eau, mais ce n’est pas super efficace il faut dire que la pièce est clairement inondé, pencher en avant tu tapes des mains sur le manche de l’aspirateur pour vérifier que celui-ci aspire correctement  puisque visiblement tu en doutes.

 

 @Julia Hollingsworth  

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

Devant elle, il découvre la beauté de ses sourires, de ses sourires naissent des projets de plaisir, elle pourrait être l’inspiration de tous ses sens, il paraît qu’il n’y a point de plaisir sans la douceur d’un sourire, il n’y a point de plaisir sans un être qui offre tant de plaisir, Dag le sait, il la désire, il sait que de sa jouissance, elle sera le poème. Tous ses sens sont à la fête là maintenant, il ne comprend pas, lui qui a toujours repoussé toute attraction par sa simple présence, aujourd’hui c’est tout autre chose. Ce contact même éphémère lui a donné cet impression indescriptible qu’il ne pourra pas résister à cette femme. Il a beau essayer de contrôler et de repousser l’inévitable, tous ses sens sont en ébullition. Alors qu’il l’observe, elle fait naître en lui de douces pensées, des douceurs qui l’invitent à s’abandonner. Un bonheur qui invite à la douce affection avec un seul projet : celui de la combler. Voilà ce que ses pensées l’entrainent dans des songes qui le bousculent mais il se reprend alors que son regard vient se planter dans le sien.

Il n’a jamais posé son regard sur elle comme il le fait actuellement, elle a beau être la soeur de James, il ne s’est jamais d’interdit pour cela, simplement parce que rien n’écrit sur la roche mais il le sait, il avait fini par mettre des barrière à cause de Warren, cependant aujourd’hui ses barrières, il n’avait plus envie de les laisser, il voulait les faire sauter tout simplement. Après tout, elle est libre, il est libre… Une fois de plus, Dag part dans des songes que lui seul est le maître, il répond à Julia, il l’admire avec comme seule prière celle que jamais ne s'éteigne cette lumière et cette chaleur intense qui efface toute douleur ne se soient apaisés par le simple fait de l’avoir pour lui même pour une nuit, répondre à ses envie et unir leur corps pour ne faire qu’un et jouer cette mélodie qu’est de faire l’amour. Il revient à nouveau dans cette pièce qui les regroupe, cette pièce en chantier d’une certaine manière mais qui leur est bénéfique.

Il laisse son regard sur elle, il se dit que ça doit être beau d’être compris par un geste ou par un regard, par sa volupté, son élégance et son comportement, parfois il suffit de trouver le désir par l’ivresse des mots et ses mots qu’elle vient de prononcer, le font encore plus se poser des questions sur ce qu’il se passe là maintenant dans cette pièce humide. “Alors je vais faire en sorte de te porter la poisse et que la fuite se réveille, car tu as attisé ma curiosité douce Julia” Bordel, il se demande à quoi il est entrain de jouer là, elle était avant repoussante par son comportement et là maintenant, il ressent un sublime espoir de pouvoir la caresser jusqu’à la faire chavirer entre ses doigts. Mais pour le moment, il doit encore connaître l’impatience du désir à fleur de peau, il songera plus tard à la douceur de cette danse qui aurait pu être intense.

Tout est tellement simple là maintenant, ils sourient, ils rigolent, ils se taquinent, se provoquent aussi, il n’est pas idiot “Ah oui ? Je ne demande qu’à voir, qu’à découvrir ce que tu caches Julia….” Il a pour le moment à l’appeler autrement que par son prénom en entier, il n’en a pas l’habitude et pourtant, il le sait, cela viendra rapidement surtout si son désir pour elle grandit. Elle quitte la cuisine pour aller se changer, Dag reprend l’espace d’un moment ses esprits, il le sait, ce n’est pas correct de penser à elle de la sorte mais il ne peut pas faire autrement, c’est quoi cette histoire, pourquoi fallait-il qu’en une soirée que tout ce qu’il avait pensé d’elle, tout ce qu’il avait toujours rejeté venaient de se briser pour laisser la place à ce désir irrévocable. Quand elle revient, il l’observe venant murmurer qu’elle est sexy, qu’elle est entendue ou non, il s’en fout car au fond il le pense alors pourquoi dire le contraire. Une fois de plus, il est surpris de ce retournement de situation entre eux. Il la remercie pour les vêtements et il finit par faire le curieux. Il l’écoute et il est étonné d'entendre la raison alors qu’il vient de poser sa chemise mouillée sur le comptoir et qu’il se saisit du t-shirt qu’elle vient de lui apporter. Il ne l’a toujours pas quitté du regard alors que ses mains glissent jusqu’à sa ceinture “Je vois..” Il ne rajoute rien, il voit que ce sujet est encore sensible, il soupire, il n’aurait pas dû être curieux.

“Désolé, je n’aurai pas dû poser cette question” Il sourit avant de se rendre compte qu’il allait se mettre nu devant elle, il prend la parole en souriant puis il part à l’endroit qu’elle vient de lui indiquer. Alors qu’il vient de fermer la porte, il regarde la pièce, il remarque la robe qu’elle avait quelques minutes auparavant, il sourit alors que ses doigts viennent l’effleurer puis il se change retirant pantalon et boxer puis il passe le jogging avant d’aller la rejoindre avec ses vêtements et ses chaussures dans la main, il pose ses chaussures sous le radiateur puis il pose son regard sur elle où plutôt sur son postérieur alors qu’elle a l’air en proie une nouvelle fois avec un objet chez elle. Il se glisse à ses côtés, son corps étant bien plus proche qu’avant “Tu as un souci avec ton machin là ?” Il finit par attraper le manche venant poser sans réellement le faire exprès sa main sur la sienne “T’es sûr qu’il n’a pas avalé un truc autre que de l’eau ?” Son regard se plante dans le sien attendant d’en savoir plus.

@Dagnýr Taygart

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 “ Alors je vais faire en sorte de te porter la poisse et que la fuite se réveille, car tu as attisé ma curiosité douce Julia “ tu le regardes te demandant si tu as bien entendu ses paroles, mais oui, tu n’es pas sourde et encore moins stupide tu as parfaitement saisi le sens de ses mots bien qu’on peut d’une certaine manière les interprétés comme bon nous semble, mais toi tu as envie d’y voir un message subliminal -complètement folle ma pauvre fille- toi, tu as envie de croire que tu plais à cet homme pourtant il n’est rien pour toi… Alors pourquoi, pourquoi soudainement tu te demandes quel goût ont ses lèvres ? Pourquoi tu te demandes quel genre de mélodie ferait vos corps à l’unisson ? Et lui pourquoi continue-t-il ce petit jeu qui vient de prendre naissance ? Pourquoi te donne-t-il ce surnom qui te fait craquer… Douce Julia… Bordel… Tu as envie d’être douce avec lui - non, mais ça suffit oui Julia, tu lui dis de partir et tu vas sur ton appli pour un plan baise !- c’est ce que tu devrais faire, oui c’est ce qui a de mieux a faire , oui, oui voilà c’est ce que tu vas faire !

Mais tu ne le fais pas d’ailleurs ta raison c’est déjà fait la mâle suite au gros coup de pied aux fesses que ta folie vient de lui mettre, tu le regardes encore et encore cela en est presque de l’obsession, tu lui dis que tu caches bien des choses et lui… Il enchérit et tu aimes, oui tu aimes l'entendre s’intéresser à toi… Loin est cette animosité du départ, maintenant tout es léger, tout est doux, tout est… plaisant << si tu es sage peut être que je te laisserai découvrir certaines choses >> dis-tu d’une voix plus suave que précédemment, tu joues, la partie à déjà bien commencé sans même que tu en aies lu les règles… Sans comprendre, tu te retrouves joueuse de ce jeu particulièrement dangereux.

Tu finis par quitter la cuisine pour te changer et t’éloigner de cette atmosphère te permet de respirer un peu, tu ne sais pas ce qui ne se passe ni dans sa tête ni dans la tienne parce que visiblement vous ne semblez pas emprunter le chemin de la raison. C’est vraiment n’importe quoi, tu fais vraiment n’importe quoi parce que oui ce petit jeu entre vous, tu le sais il est malsain, il est digne d’un flirt… Tu flirtes avec l’ennemi, tu flirtes avec le meilleur ami de ton frère et de ton amant passé dans quel foutoir es-tu encore en train de te mettre Jul’ ? N’as-tu pas appris de ton passé ? Ce passé qui te fait encore tourner la tête à chaque fois qu’il est dans les parages ? Tu n’es pas bête, tu sais que tout le monde le sait, tu as conscience que tes regards sur Warren sont frappants d’ailleurs ton ex avait plus d’une fois fait part de sa jalousie mal placée… peut-être pas finalement…

À ton retour, tu le regardes retiré sa chemise tu ne comptes pas regarder ailleurs pourtant tu devrais que ce soit par respect pour lui comme pour toi même, mais non toi Julia tu es cette femme qui saute la tête la première dans tout ce qui est compliqué tout ce qui finit toujours par te faire du mal… Ouais, c’est l’histoire de ta vie, tu fonces, tu vis et tu souffres… Dans la finalité tu n'es jamais celle qui est choisie… Tu lui réponds sincèrement quand il te demande pourquoi tu as encore des vêtements appartenant à l'ordure qui t'a humilié, tu aurais pu mentir prétextant que cela appartient à James, mais non, tu ne le fais pas… Pour une fois, tu veux être vraie avec lui sans vraiment en comprendre la raison.

Tu l’entends s’excuser une fois de plus et tu souris << ne t’excuse pas, c’est du passé.. Même si reparler de tout ça me rappelle constamment qu’aux yeux des habitants de la ville je suis la cocue qui n’a pas su voir ce qu’elle avait sous les yeux >> évidemment dans une petite ville comme St-Hope tout se sait et ton histoire n’a pas attendu longtemps avant de finir dans les bouches des habitants… << au final je ne pense pas qu’on serait encore ensemble >> dis-tu alors avec sincérité << je ne sais pas si tu as déjà connu ce genre de sensation qui te dit avec certitude que c’est mieux ainsi, tu sais le genre de sentiment qui te dit que dans tous les cas il n’était pas l’homme dans ta vie enfin pour toi la femme >> sourire léger sur les lèvres parler de cela ne te fait plus mal non, tu t’es fait une raison et tu sais que ce mariage aurait trouvé fin dans un divorce alors tu t’en sors bien.

Tu le laisses rejoindre la salle de bain et tu t’insultes de blonde suite au comportement que tu viens d’avoir, tu dois passer pour la fille en manque - c’est ce que tu es, c’est ce que tu es- dis cette petite voix dans ta tête et tu soupires alors que tu cherches l’aspirateur a eau dans le placard, tu commences à le passer, mais celui ne semble pas aspirer, prise dans ce que tu fais tu n’entends pas le retour de l’homme qui te vole des sueurs chaudes. Tu tapotes l’embout alors que subitement la présence de Dag se fait sentir à tes côtés, tu tournes la tête et tu souris en le voyant << Un aspirateur pour l’eau >> dis-tu pour combler son “machin” << je ne sais pas il aspire plus alors que cette après-midi il était plutôt efficace >> il attrape le manche et sa main se pose sur la tienne, sa main… Dieu qu’elle est grande, dieu qu’elle semble puissante, une sensation de chaleur te parcourt et tu glisses ton regard sur sa main qui reste sur la tienne, cette main qui recouvre presque totalement la tienne , tu te demandes la sensation que tu ressentirais si cette main venait à caresser tes monts - arrête, répète après moi D A G N Y R - tu tournes la tête pour le regarder et tu es bien proche de ses lèvres, ton regard se plante dans le sien, cette proximité, cette main, cette envie - Julia- t’avertit cette petite voix dans ta tête, tu le fixes, tu passes le bout de ta langue sur tes lèvres -Non- tu ne lui as toujours pas répondu concernant la possibilité qu’un truc ce soit fait aspirer, tu es bien trop fasciné par la lueur de ses iris par les profondeurs ténébreuses de son regard, tu ne contrôles plus rien, tu ne t’écoutes plus, tes yeux glissent sur ses lèvres signalant alors ce que tu t’apprêtes à faire, tu y vas oui, tu vas le faire -JUL…- cette petite voix dans ta tête n’a pas le temps de finir son hurlement pour te stopper que c’est le bruit sourd de l’aspirateur qui vient aspirer subitement qui te fait sursauter et reculer, ce boucan tu ne t’y attendais pas si bien que tu en sursautes, tu recules et tu glisses te retrouvant alors les fesses au sol, silencieuse tu restes assises en clignant des yeux  plusieurs fois comme pour réaliser avant de poser ton regard sur Dag et d’exploser de rire face à la situation qui est véritablement absurde.

 

 @Julia Hollingsworth  

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

Dag laisse son regard sur elle, il est prêt d’elle, il ressent la chaleur émaner d’elle, il se doute que ses caresses annoncent un bonheur, son corps entier attend, il est impatient, l’espace d’un instant, il rêve à ses doigts sur son membre qui se prépare à vibrer sous ceux-ci. Il ne peut nier qu’il sent cet immense désir pour elle, il sent dans son ventre monter le plaisir, il rêve de leur corps enlacés, bercés par leur soupirs. Il passe une main sur son visage alors qu’il essaie de ne plus penser à elle de la sorte et pourtant quand leurs regards se croisent, il repart à s’imaginer sa peau contre la sienne, couchés l’un contre l’autre perdu dans le néant, sans un mot, deux corps étendus baignés de plénitude. Il a du mal à croire qu’il y a encore quelques heures, elle n’était rien, elle n’était qu’une femme parmi tant d’autre, une femme qui n’en valait pas la peine et aujourd’hui… Aujourd’hui, il la désire.

Il l’écoute, il laisse son regard sur elle et il sourit, ce jeu est malsain, ce jeu est puissant, il est tout simplement divin “Attention Julia… une promesse est une promesse. Je vais faire en sorte que tu me montres tout…” Double sens ? il ne peut nier que oui. Il la suit du regard alors qu’elle quitte la pièce, il se pâme devant la magnificence de ses traits, il est subjugué par sa silhouette féline et ses attraits. Il a tenté de lire dans ses yeux expressifs, comme un feu ardent qui embrase sa chair. Son sourire candide et ravageur le trouble et apaise son corps, son âme est subjuguée qu’il en deviendrait gourmand. Une fois de plus, il est dans ses songes avant qu’elle ne revienne pour l’en faire quitter pour revenir à cette réalité troublante.

Ils parlent des vêtements qu’elle vient d’amener et de son ex, il s’excuse simplement parce qu’il sait ce que cela fait de se sentir trahi par une personne que l’on pense aimer. “J’ai connu ça… Il n’y a que Rick qui est au courant de cette histoire, pour les autres, j’ai menti, je ne voulais pas de leur pitié… Je ne sais pas si tu te souviens il y a quelques temps, j’ai été avec une femme, ça a duré deux ans et puis j’ai décidé de faire ma demande en mariage, il était peut-être temps à l’époque de me caser. Tout était organisé et elle n’est jamais venue… On devait vous rejoindre après mais je ne suis pas venu, je suis rentré et j’ai découvert qu’elle était partie, elle avait tout emmené donc je connais très bien cette sensation que tu as pu ressentir, même si au départ ce n’était pas le cas, je me suis résigné et j’ai fini par me dire que c’était mieux ainsi… Aujourd’hui, la vie que je mène me convient et je n’ai pas envie de chercher plus…”

Dag a été longtemps perturbé par cela mais aujourd’hui il a passé l’éponge et il ne veut plus rien avoir avec cette femme. Il finit par la quitter pour aller dans la salle de bain, il reprend un peu ses esprits mais en voyant sa robe, il vient effleurer celle-ci de ses doigts. Il l’imagine alors dans ses songes qu’elle émaillent plusieurs nuits, découvrant son corps en feu dans la pénombre de son lit, il rêve de ses baisée aromatisés de sa candeur retrouvée posés délicatement sur sa peau satinée. Elle serait l’espace de ce moment une source inspiratrice et inépuisable, elle serait son égérie l’espace d’un moment. Il soupire venant passer sa main sur son visage, il faut qu’il arrête de penser à ça, il faut qu’il se ressaisisse et qu’il revient serein mais il le sait, avec elle il a envie d’être sculpteur pour pouvoir avec son ciseau mouler son derrière si beau, son épaule si ronde que la lumière se reflète et inonde. - Il se dit qu’il faut qu’il arrête de penser à cela - Il quitte enfin la salle de bain, il revient vers elle et l’observe venant se glisser à ses côtés, il regarde son appareil, il se demande à quoi ça sert… Il sourit avant de planter son regard dans le sien tandis que sa main se pose sur la sienne. Ce qu’il se passe, il ne l’avait pas imaginé, un long frisson parcourt son échine, ses lèvres appellent à la tentation, son regard est perçant et si troublant, son regard glisse à nouveau sur ses lèvres alors que sa langue passe sur ses lèvres avec une sensualité qu’il est presque jaloux de ne pas être à la place de ses lèvres, il ne contrôle pas ce qu’il se passe, il ne veut pas le contrôler au fond. Leurs lèvres se rapprochent inexorablement - c’est quoi ça ? -

Alors qu’il ne reste que peu d’espace entre leurs lèvres, un bruit sourd se fait entendre, il revient à la réalité et d’un coup sans qu’il ne s’y attende la voilà, fesses au sol, il la regarde, c’est assez comique comme situation surtout quand on découvre la façon dont cela c’est fait. Il la voit rire et son rire rejoint le sien, cette scène est… des plus comiques “Tu ne t’ai pas fait mal ?” dit-il alors que les rires s’unissent pour ne faire plus qu’un, il lui tend la main pour l’aider à se relever, son autre main glisse dans son dos pour la maintenir “Tu crois que tu vas arriver à tenir sur tes jambes ?” Ils sont proches mais pas assez, sa main fait pression pour que leurs corps s’épousent. “On ne sait jamais que tu retombes, je ne voudrai pas que tu te casses quelque chose !” Il sourit alors qu’il vient plonger son regard dans le sien une énième fois, ils s’attirent, ils se cherchent. Il peut sentir le souffle chaud sur son visage, il s’approche et sans réfléchir ses lèvres glissent sur les siennes avant qu’il ne recule “C’est un baiser magique, il paraît !”

Il sourit alors que sa main libre glisse jusqu’à ses cheveux qu’il caresse du bout des doigts - il se demande ce qu’il est entrain de faire… Il n’arrive pas à se contrôler - Il a envie d’elle peu importe l’endroit, qu’il fasse jour ou nuit, qu’il soit midi ou minuit, c’est cette femme qu’il désire. Sa main sur son dos fait doucement remonter le tissu alors que ses doigts glissent sur sa peau nue. ses iris plongent dans le sien “Repousse-moi avant qu’il ne soit trop tard Jul’” il lui laisse le choix…

@Dagnýr Taygart

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 Une promesse est une promesse, tu es la première à penser cela, tu es la première a affirmé cela alors l’entendre de la bouche de l’homme qui ce soir te fait un effet incontrôlable te fait sourire de plaisance << je n’ai rien promis, mais peut-être qu’un jour tu auras le droit de l'explorer sous toutes les coutures >> allusion, subliminal, double sens ? Tu joues au même jeu que lui, tu suis la même notice, les mêmes règles en ayant parfaitement conscience que tout cela est foutrement dangereux… Mais c’est bien cela qui te plait Julia, tu aimes quand ça brûle, tu aimes quand ça te pénètre, quand ça rentre dans ta chair pour venir chercher tes tripes. T’éloigner semble être ce qui a de plus sages faces à la situation, face à l’atmosphère qui ne cesse de prendre chaleur en sa présence. 

Quand tu reviens, tu lui proposes de quoi se mettre et vous venez à parler… Tu t’ouvres pour la première fois, tu lui parles de ce que tu as vécu, mais pas seulement tu lui parles de ce que tu ressens, pourquoi fais-tu cela ?  Voilà une question aussi conne que la lune puisque tu n’as pas la réponse à cette interrogation, tu le sens c’est tout s’était le moment de lui partager un moment de toi, une image de ta personne, une vérité face à une blessure aujourd’hui cicatrisée. Tu ne caches pas ta surprise quand il annonce avoir connu ça, évidemment tu n’es pas au courant des plaies ouvertes ou panser qu’il peut avoir en lui, les noisettes obnubilées par lui, tu lui offres mes oreilles attentives et tu fronces doucement les sourcils alors qu’il avoue avoir menti, mais tu comprends probablement mieux que personne… Toi, la pitié tu as dû l'affronter, la supporter que ce soit dans le regard de tes amis, de tes parents ou dans celui de tes parents… Tu ne prends pas la parole, tu ne veux pas le couper dans son élan, il s’ouvre et tu ne veux pas que cela s’arrête, tu as envie de le connaître, tu as envie de le découvrir alors pour répondre à sa question concernant un souvenir probable d’une femme avec qui il a eu une histoire, tu hoches la tête pour confirmer que tu t’en souviens. 
Tu souris légèrement en entendant qu’il avait décidé de faire sa demande en mariage, toi tu te souviens encore de celle de Marcus et de la joie que tu as ressentie ce jour-là puisque pour la première fois de ta vie, tu avais eu l’impression d’être le premier choix, d’être celle qui fallait en toute situation… Euphorie, illusion qui s’est rapidement volatilisée. Tu pinces tes lèvres en apprenant le vrai fond de cette histoire, tu as de la peine pour lui puisque tu sais ce qu’on ressent quand soudainement tout s’écroule en dessous de nous << je suis désolé… Cette femme s’en mordra probablement les doigts un jour >> tu lui souris avec cœur et sincérité avant de le laisser rejoindre la salle de bain.

Tu vaques à tes occupations avec la ferme attention d’aspirer l’eau qui s’est accumulée dans ce qui devrait être ta cuisine, il ne tarde pas à revenir sa main se pose sur la sienne et ce que tu ressens n’est pas loyale, non ton corps, ta folie n’est pas loyale à ta raison, il y a même trahison au vu de ce que tu t’apprêtes à faire, mais tu veux y goûter à ce fruit défendu et tu es sur le point de le faire au moment ou l’aspirateur s’emballe, il te surprend si bien qu’en quelques secondes tu viens à te retrouver les fesses sur le sol trempé. Tu mets une petite seconde a réalisé et tu regardes Dag avant d’exploser de rire face à la situation qui est cocasse. 

Son rire se mélange aux tiens et tu te laisses apprécier cette mélodie qui vous appartient, tu le regardes te tendre la main et tu l’as prend doucement << un peu et je suis trempé une fois de plus >> tu sens son autre main glisser sur le creux de tes reins, tu plonges ton regard dans le sien << je n’en suis pas tout à fait certaine >> dis-tu alors ne voulant pas qu’il te lâche, ne voulant pas qu’il s’éloigne… La revoilà cette atmosphère pétillante, crépitante, un contact, un battement de cil et elle est de retour – il fait chaud non ?- dis cette petite voix dans ta tête et toi Jul tu ne peux que confirmer qu’il fait atrocement chaud… Si cette chaleur continue à monter, tout va finir par s'embrasser et c’est un pompier dont vous aurez besoin… -Ironie du sort ou pas ton frère, son meilleur ami est pompier…- laisse glisser cette petite voix dans ta tête.
Il réagit à tes propos et il te colle davantage à lui, vos corps viennent à s’épouser, tu le fixes, tu t’es perdu dans le nuancier de ses iris << c’est très prévenant de ta part >> dis-tu en pressant davantage ta poitrine sur son torse. Tu sens son souffle, son haleine rafraîchissante sur ton visage, son parfum se mélange délicieusement à toutes ses senteurs et c’est ses lèvres qui se posent sur les tiennes qui viennent à faire exploser ce mélange de senteurs. Baiser simple, baiser chaste, baiser digne d’un simple contact de lippe, baiser qui en appellent d’autres. 

Tu clignes des yeux sans bouger, tu souffles doucement sous l’envie que tu ressens, tu ne dis rien, tu restes contre lui à le regarder, sa main qui glisse jusqu'à tes cheveux effleure la peau de ton visage ce qui te fait fermer les yeux, il est doux, il est prévenant… Il te fait vibrer non pas comme Warren peut le faire, c’est différent, mais tout aussi plaisant, tout aussi bon, tout aussi enivrant. Tu ouvres les yeux doucement venant à te perdre directement dans son regard, tu sens sa main présente sur ton dos remonter le tissu de ton haut, sa chaleur se pose sur ta peau nue qui en frissonne…tu n’as toujours rien dit, tu n’as toujours pas bougé, réfléchis-tu ? Non, plus rien n’a de sens dans ta tête, tu es juste prise par cette envie qui crépite entre tes cuisses, par cette chaleur qui parcourt chacune de tes veines, par ton palpitant qui gravite les lois de la physique… 
Tu l’entends, il te respecte assez pour te laisser le choix, tu l’entends, il se bat contre son envie, tu l’entends, il est comme toi… Il ne contrôle plus rien, sa raison n’est plus et la réalité n’est qu’un brouillard que vos corps souhaitent conquérir. Le regard dans le sien, tu montes ta main sur sa joue venant doucement la caresser, tu gravites les centimètres qui vous séparent en te mettant sur la pointe des pieds et tu murmures << J’ai toujours aimé la magie >> avant de venir coller tes lèvres contre les siennes. 


 

 @Julia Hollingsworth  

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

Le destin est cruel, le destin est une chose qui ne se contrôle pas et pour cause quand on regarde ce qu’il se passe là maintenant, rien ne se contrôle. Dag laisse son regard parcourir la femme devant lui, le désir qu’il ressent est persistant, il veut apprendre d’elle, il veut découvrir ce qu’elle est, il veut qu’elle le rende beau tout autant qu’il la rend belle. Ses iris se plantent dans les siennes, ce qu’elle dit, il le prend dans un sens qui n’est peut-être pas celui qu’il faut mais ce qu’il se passe n’est pas rationnel, il le sait… Quand elle revient dans la cuisine, cette attraction, cette magnifique attraction est toujours présente et certainement encore plus que dans les musiques précédentes. Ses mots viennent le toucher en plein coeur et depuis longtemps, il parle, il s’ouvre et il lui dit qu’il comprend parfaitement ce qu’elle ressent, cependant jamais il n’a voulu de la pitié des autres, jamais il n’a voulu qu’on lui dise qu’il doit être fort ou autre… c’est une chose qu’il déteste par-dessus tout. Il lui sourit, délicate attention venant d’elle, délicate sensation d’avoir un poids qui n’est plus. “Tu n’as pas à être désolé pour moi… Qu’elle s’en morde les doigts ou non, ça m’est aujourd’hui égale, elle a fait un choix, j’aurai juste aimé savoir pourquoi mais maintenant, j’ai tourné la page…”

Dans cette salle de bain qu’il occupe l’espace d’un instant, il repart dans ses songes, il laisse son esprit sculpter la femme qui se trouve dans la cuisine, il imagine ses mains parcourir son corps et découvrir comment elle a été modelé, découvrir ce qu’elle est. Il reprend ses esprits quittant la salle de bain pour se glisser à nouveau dans la cuisine, il pense avoir repris un peu sur lui mais rapidement, cette attraction, ce désir ardent reprend de plus belle sa place, sa main sur la sienne, lui donne l’envie d’en découvrir encore plus, il ne devrait pas, elle est pour un autre, elle est pour son ami mais n’a-t-il pas perdu la place du favori en la laissant, en refusant d’être avec elle. Pourtant personne ne peut nier qu’il y a toujours eu quelque chose entre eux même s’ils l’ont toujours réfuté. Il laisse échapper un léger soupir presque inaudible avant de se dire qu’il ne fait rien de mal, ils ne sont pas ensembles, il n’est pas là… alors il se laisse à rêver à leur corps entrelacés qui s’allument comme un braiser, à ses baisers qu’ils pourraient échanger qui ne feront attiser que ce désir.

Quand elle se retrouve au sol, il se met à rire à l’unisson avec elle avant qu’il ne l’aide à se relever. Au son de sa voix, il frissonne, par son regard il se sent emprisonné. Alors qu’il la sert contre lui, il pourrait presque sentir son coeur battre, dans ses bras, il s’évade sans même combattre. Ses lèvres déposent un baiser subtile contre les siennes, un baiser qui ne rend pas les choses faciles. Il lui demande de le repousser mais sa raison est fragile et désarmée alors que la tentation se fait si attentionnée. Il le sait au plus profond de lui que ces moments éphémères et cachés sont interdits mais quoi qu’il se passe, ils resteront graver à jamais dans leur esprit et elle sera son ange de ses songes, l’archange de ses nuits, la muse de ses désirs et la déesse des interdits. Ses doigts effleurent sa peau et il attend, l’espace d’un instant, il pense qu’elle va le repousser mais non, ses lèvres glissent jusqu’aux siennes, sa main sur sa joue, le fait bouger doucement la tête pour venir prendre appuie dessus avant qu’il ne réponde au baiser, ses lèvres bougent au même rythme que les siennes.

Sa langue franchit la barrière de ses lèvres pour venir caresser doucement sa nouvelle partenaire de jeu puis rapidement tout change, tout devient plus fougueux, plus passionné. Sa main glisse sous son haut caressant du bout des doigts sa peau si délicate. Il ne veut plus se demander ce qu’il se passe, il a fini de se poser des questions sur ce qui est juste ou non, il la veut, il ne veut qu’elle. Il la soulève dans un geste rapide pour venir la poser sur l'îlot de la cuisine, ses iris viennent plonger dans le regard de sa muse car oui ce soir, elle est sienne, son haut rejoint rapidement le comptoir alors qu’il se glisse entre ses cuisses “Tu es magnifique…” Il sourit alors que ses mains glissent sur son dos alors que ses lèvres se posent dans son cou venant déposer une multitude de petit baiser, avant de lui mordiller le lobe de l’oreille, elle le rend fou à cet instant précis. Ses mains finissent par venir explorer son corps avant de venir avec l’une d’elle caresser l’un de ses monts alors que ses lèvres reviennent prendre place sur celle de cette femme qu’il désire plus que tout…

@Dagnýr Taygart

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 ‘ Tu n’as pas à être désolé pour moi… Qu’elle s’en morde les doigts ou non, ça m’est aujourd’hui égal, elle a fait un choix, j’aurais juste aimé savoir pourquoi, mais maintenant j’ai tourné la page…” Tu as rajouté à ses paroles un signe de tête simple, mais pourtant vraie, tu le comprends peut-être mieux que personne, tu le comprends comme tu n’aurais jamais imaginé le comprendre… Tu es comme lui, tu vois les choses de la même façon pour Marcus tu te moques de ce qu’il peut se mordre, tu as tourné la page même si cela a été difficile d’avoir été trahi de la sorte. Tu le laisses rejoindre la salle de bain, c’est bien plus sage, bien plus respectueux pour vos deux âmes, bien plus sérieux…

Tu le sais Jul’, tu devrais le fuir, tu devrais le remercier et l’accompagner à la porte simplement parce que tu l’as sens cette atmosphère qui prend de plus en plus place entre vous, tu l’as sens cette envie qui émane de ton corps, de l’appel qu’il ne cesse de lui faire… Tu perds le contrôle, tu perds le chemin que tu dois suivre, une fois encore tu te diriges sur un chemin rempli d'épines.. Tu te connais Julia, tu te connais mieux que n’importe qui alors tu devrais prendre les devants et le congédier de toute mission pourtant, tu n’en ressens pas la moindre envie. C’est d’ailleurs ce qui est l’un de tes plus gros soucis, tu as tendance à suivre tes envies au lieu d’écouter ta morale, ta raison… Tu es de celle qui fonce, de celle qui ne s’arrête pas par peur, toi les obstacles sur les surmontent, tu les frappes a coup de massue et bien souvent, trop souvent tu te retrouves frapper de cette même massue. Mais tu continues, tu respires et tu continues à prendre ces chemins sans lendemain, ces chemins qui ne te guident n’ont rien en gardant espoir qu’un jour tu trouveras une main qui se liera à la tienne pour ne faire qu’un.

Sa main sur la tienne, c’est le moment de lui dire au revoir, le moment de mettre fin à cette tension à nouveau présente dans l’atmosphère, ta meilleure amie te dirait incontestablement que l’ambiance dégage une odeur écœurante de sexe et elle a raison, tu l’as sens cette odeur sauf que toi elle t’attire si bien que tes lèvres soient sur le point de rencontrer les siennes… Coup du destin ou non, tu te retrouves sur les fesses, mais cela n’enlève rien à cette lourdeur qui pèse sur vos deux corps enflammés par cet appel qu’eux seuls comprennent. Au contraire, son rire se mélangeant au tien ne fait qu’accroître les nuances de cette pièce, la chaleur monte encore et encore…

Tu acceptes sa main, il t’aide à te lever et c’est là ton erreur… Tu n’aurais pas dû accepter sa main, tu n’aurais pas dû accepter le moindre contact avec lui… Mais maintenant que tu as découvert la douceur de sa main, la virilité qui s’y dégage, tu sais qu’il n’y a plus de porte de sortie. Si bien que tu te laisses aller contre lui quand il te tire davantage contre lui ne laissant plus aucune chance à la raison, à la morale… Ses lèvres se posent sur les tiennes t’offrant alors qu’un simple arrière-goût de ne pas assez… Tu le laisses s’exprimer, il parle de magie et toi, toi tu aimes la magie Julia… Et maintenant tu veux qu’il soit ton magicien, tu veux qu’il pratique tous les sorts que ton corps. Sa demande, tu l’entends et tu l'apprécier rare sont les hommes qui te laisse le choix, rare sont ses hommes qui ne te pensent pas acquise. C’est toi qui envoies valser les dernières barrières en lui précisant que tu as toujours apprécié la magie avant de coller tes lèvres contre les siennes.

Rapidement ses lèvres emportent les tiennes, sa langue vient rejoindre sa comparse pour la soirée, nuit qui s’offre à elles et sans tournant, sans avertissement tout change le baiser devient plus fougueux, plus intense, rythmé au rythme d’un tango mouvementé, tes lèvres ne cessent de se mouvoir contre les siennes et ta langue ne fait que réclamer la sienne, la cherchant, la taquinant sans aucune retenue. Sa main passe sous ton haut et ce contact te fait du bien, ton corps l’appelle, il veut le sentir sur lui, il veut que ses mains le caressent.
Il te soulève comme tout mâle alpha ferait et il te dépose sur l’îlot de la cuisine, tes iris enflammés par le désir rejoignent les siennes, vous êtes connecté, vos flammes vibrent au même moment ce que tu ressens, il le ressent… Tu le laisses retirer ton haut le laissant découvrir à sa guise les courbes qui t’ont été offertes, tes mains passent sous le haut dont il n’est pas le propriétaire, elles n’ont qu’une envie de venir parcourir ce torse préalablement observer plutôt, tes doigts veulent dessiner chaque ligne de chaque muscle. Son compliment te fait sourire, il n’est pas le premier à te dire ses mots, ils le disent tous, tu penches la tête la laissant venir parcourir de ses lèvres ton cou, il mordille le lobe de ton oreille et toi, tu frissonnes de tout ton être, ses mains parcourent ton corps tandis que les tiennes parcourent son torse encore vêtu de son vêtement, tu finis par lui retiré et ton regard glisse sur le tableau que tu as déjà pu observer, tu souris satisfaite, il est beau, il est bien fait… Tes mains à plat sur son torse, elles descendent jusqu’à la taille de son jogging, tes lèvres à nouveau capturer des siennes tu viens à lui mordre doucement doucement la lèvre inférieure.

Enflammée, tu es le feu qui brûle sans jamais se consumer, sans jamais s’éteindre tes mains présentes sur la taille du jogging glissent sur son dos tandis que tes jambes viennent l’encerclé afin de le coller davantage à toi, ta poitrine dénudée puisque tu ne portais pas de soutien-gorge se colle contre son torse, tes mains glissent doucement sous la taille du jogging venant découvrir la fermeté de ses fesses, tes lèvres se jouent des siennes sur un tempo rapide, tu le manges, vous, vous dévorez sans en perdre appétit.

 @Julia Hollingsworth  

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

 @Julia Hollingsworth  

Il y a des corps qui sont faits pour se rencontrer, il y a des cœurs qui sont faits pour s'aimer, il y a des âmes qui sont faites pour se torturer.

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