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“Dans une discussion, seul le plus sage se tait.”

Simple Life :: Don't need you :: Good Bye :: Sujets Rp
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Lun 30 Mar - 19:47


“Dans une discussion, seul le plus sage se tait.”
Koraly & Giuliano

Dans une discussion, seul le plus sage se tait. C'est bien connu. Aujourd'hui, Giuliano plus que jamais ne comptait pas jouer le rôle du sage. Il avait besoin de réponse, d'avoir une réelle discussion avec Koraly, la femme qui arrive à faire battre son coeur de pierre. Depuis sa tentative de passer à un stade bien plus sérieux de leurs relations, la belle le fuit comme la peste. Elle l'évite, ignore ses appels, elle répond tout juste à ces messages. Mais que ce passe t-il ?  Avait-elle quelqu'un d'autre ? Avait-elle peur de son nom : Rivera ? Il devait en avoir le coeur net.

La veille, au bal, il avait espoir de la voir et de lui parler. Contrairement à ses habitudes, la belle Koraly n'a pas pu le fuir bien loin, étant tous les deux enfermer dans la salle du Capulets mais cependant elle se montra très douée pour esquiver en beauté ses questions.

Attendant sagement, la fermeture de sa boutique, Giuliano alluma une cigarette qu'il fuma installer sur une table devant la boutique. Qui aurait cru qu'un jour Giuliano attendrait là seul, comme un con pour une femme ? Comme quoi parfois certaine personne arrive à le faire changer. L'heure de la fermeture sonna. Il écrasa sa cigarette sur le sol, avant de pénétrer à l'intérieur de la boutique. Il entendit alors une voix lui disant qu'ils étaient fermés. " J'en ai rien à foutre de vos pâtisseries ! Elle est ou Koraly ? " Énervé . Non plutôt agacé. Cette situation avait tendance à le chagriner un petit peu. La jeune femme resta comme pétrifier, ne sachant plus quoi dire ou quoi faire. Devait-elle luit qu'elle était juste là dans l'arrière-boutique ? Ou est-ce une personne qui lui voulait du mal ? Elle ne lui donna aucune réponse mais son regard la trahit. Il s'empressa de se rendre à son tour à l'arrière-boutique. "faut qu'on parle ! " Dit-il assez sèchement en regardant Koraly, qui comme à son habitude était magnifique.


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Mar 31 Mar - 12:21
DANS UNE DISCUSSION, SEUL LE PLUS SAGE SE TAIT.J'aime
et je sais répondre avec indifférence
j'aime
et rien ne le dit
j'aime
et seul je le sais
Et mon secret m'est cher
et chère ma souffrance
j'ai fait le serment d'aimer sans espérance.
( @GIULIANO T. RIVERA )
Tu as été encore bien habile ce soir pour éviter le sujet avec Tino. Il ne sait toujours pas et tu évites toujours autant d’écouter ce qu’il veut te dire. Cela te fait peur. Depuis qu’il ta dit ces quelques mots, tu ne sais plus comment tu dois te comporter avec lui. Alors tu l’évites, tu le fuis, tu ne veux pas le faire souffrir, même si sa présence te manque, tu prends sur toi. Tu dois trouver comment rompre tes fiançailles sans que toute ta famille ne se retrouve parias et n’ai à dos la famille de Samuel Davis, ton fameux fiancé. Tu le fuis comme la peste. Et heureusement pour toi, tu n’es pas tombée sur lui ce soir. Comment expliquer à l’homme qui a une place dans ton coeur, que ton père a passé un accord avant sa mort, pour te fiancer contre ta volonté à un autre, dans le but de renforcer l’alliance entre les deux familles ? D’autant plus que cette alliance, tu t’en fous royalement. Ça semble si simple dit comme ça. Tu soupires, il est temps de dormir, demain tu dois aller à la boutique. Tu prends juste le temps de retirer ta robe, que tu laisses sur le sol et tu t’effondres sur le lit. Tu ne dors que peu, ayant l’esprit trop tourmenté pour réellement trouver le repos. Au petit matin, tu as la tête d’un panda qui serait passé à la machine à laver. Tu n’as pas prit le temps de te démaquiller hier. Tu vas prendre une bonne douche, ça t’aidera à te remettre en forme. Un peu de maquillage pour camoufler les cernes. Tu enfiles un jeans, une chemise, peu importe, tu porteras un tablier une fois dans l’arrière boutique. Et tu relèves tes cheveux en un chignon négligé.

La journée a été compliquée. Couchée tard, levée tôt, tu souhaitais que cette journée se termine. D’autant plus que de toute la journée, malgré le monde, malgré le manque d’effectif à cause de deux employés absents, tu n’avais fait que penser à lui. Tu as bien comprit, hier au bal, qu’il voulait parler. Qu’il voulait aborder ce sujet que tu fuis comme la peste. Tu as réussi à t’en sortir habilement hier, mais tu le sais, tu ne pourras pas toujours réussir à l’éviter ce sujet. Mais comment l’en empêcher ? La fin de la journée approche, tu as ce mal de crâne qui ne veut pas partir. Tu regarde l’horloge, encore quelques minutes et ce sera la fin de la journée. Toi qui aimes tant ta pâtisserie, aujourd’hui, la journée avait été rude, épuisante. Le petit nouveau n’était pas revenu travailler aujourd’hui, impossible de le joindre. Devant, la pauvre Ambre avait dû se débrouiller seule pendant que tu t’occuper à l’arrière des fournées qu’il fallait enchaîner. Parfois, tu allais devant, l’aider un peu quand elle se trouvait trop dans le jus. Et de ce fait, il t’arrivais de faire brûler ce qui était au four, ne revenant pas à temps pour les sortir. Tu vois le dernier clients partir, tu dis à la petite de fermer les portes, tu veux en finir avec cette journée ! Tu veux prendre un instant pour toi. Tu as encore tout le ménage à faire avant de pouvoir rentrer. Malgré la journée terrible que vous venez de passer, Ambre se propose de rester encore un peu pour t’aider. Elle s’occupe donc de la propreté du comptoir pendant que tu retournes à l’arrière boutique. Tu commences donc ton ménage quand tu entends du remue ménage dans le magasin. Tu soupires, pensant qu’il s’agit d’un client mécontent, tu t’apprêtes à rejoindre ton employée quand une silhouette, suivit de prêt par Ambre passe la porte de l’arrière boutique. C’est lui ! Il est là !
« C’est bon Ambre, tu peux rentrer chez toi, je vais finir. Merci d’être restée, à demain ! »
La pauvre semble terrorisée. Tu lui fait comprendre que tout va bien, que tu le connais, qu’elle n’a pas à s’en faire, ce n’est pas un bandit qui vient vous braquer, comme elle doit se l’imaginer. Te retournant vers Tino, deux sensations te prennent. Tu as des papillons dans le ventre, c’est lui après tout ! Mais tu sais pourquoi il est là, et tes jambes flageolent, comme si tu étais prête à t’effondrer.
« Minute papillon, si tu entres ici, tu portes un tablier, règle d’hygiène mon beau ! Sinon, tu peux toujours m’attendre de l’autre côté que j’ai terminé ici ! »
Attendant qu’il se décide, l’air de rien, tu poursuit ce que tu étais en train de faire. Tu ne veux pas lui montrer l’effet qu’il te fait. Vas-tu pouvoir y échapper cette fois encore ? Tu ne penses pas. Mais tu n’es pas prête. Comment lui avouer que ton père, avant la fin, t’as fiancée à un autre alors que tu viens juste de comprendre combien lui, il comptait pour toi. Et comment lui avouer que c’est pour cela que tu le fuis mais aussi parce que tu as peur de le perdre, parce que les papillons dans ton ventre, chaque fois que tu le vois ne mentent pas. Tu ne veux pas le perdre et pourtant, c’est exactement ce qu’il se passe… Tu tentes de faire diversion, peut être que tu peux encore repousser cela.
« Tu pourrais être plus aimable, la pauvre Ambre, tu as dû lui faire peur. »
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Mar 31 Mar - 15:45


“Dans une discussion, seul le plus sage se tait.”
Koraly & Giuliano

L'amour une putain de belle connerie ! Cupidon et ses flèches de merde, qu'ils se les mettent là Giuliano pensent. Il est tombé une fois amoureux, éperdument amoureux d'une jeune femme. Elle était belle, élégante, intelligente. Elle avait un caractère assez fort pour lui tenir tête, qu'est-ce qu'il aimait ça. Elle était tout simplement parfaite à ses yeux, à un détail près. La tromperie, un acte qu'il ne peut pardonner et pourtant Tino était un pro de la tromperie. Depuis la fin de leur histoire, le jeune homme a enchainé les petites relations sans aucune importance. Il reprit son passe-temps favoris, les femmes. Peu importe leur statut, d'où elles viennent, si elles sont magnifiques ou juste passables. Un troue reste un troue. Un corps de femme reste un corps de femme. Aucune pitié, aucune attache. Puis il y a cette femme qui a débarqué dans sa vie. Cette femme qui a sut lui redonner gout à l'amour. Cette femme n'est personne d'autre que Koraly. Elle lui résiste, le fuit même. Au fond de lui il aime ça, un nouveau défi qui compte bien gagner.

Attendant de longues, très longues minutes devant la boutique, Tino commença à s'impatienter. Ce n'était pas dans ses habitudes de courir après une femme. En général c'est plutôt elles qui lui courent après et lui qui fuit. Félicitation cupidon, ta flèche a fini par le toucher. Avant la  fermeture définitive de la porte d'entrée, il se précipita pour pénétrer à l'intérieur demandant aussi tôt Koraly. La pauvre vendeuse semblait toute déboussolée, ce qui fit légèrement sourire Tino qui s'amusait de la situation. Ma pauvre, il aurait vraiment voulu te braquer il ne serait déjà d'un pas à visage découvert et des deux, il se serait montrer bien plus autoritaire et méchant. "  merci. " dit-il en regardant vers la même direction que la jeune femme avant de se rendre à l'arrière-boutique pour retrouver la patronne des lieux.

Il attrapa un tablier qu'il enfila, si elle pensait le faire partir avec son histoire d'hygiène c'était bien loupé. " Je ne compte pas bouger d'ici tant que je n'aurais pas eu de réponse Koraly ! " Il la regarda reprendre son travail comme si de rien n'était, ce qui avait le don de l'énerver. Il soupira. Un rire nerveux s'échappa de sa bouche en l'entendant parler. " ça ne lui fera pas de mal, elle a besoin d'être un peu forgée cette petite. Puis entre nous, si tu ne m'éviterais pas je ne serais pas obligé à venir ici, n'est-ce pas ?! " Il alla à ses côtés, il commença à son tour à ranger, à laver. Non pas qu'il en avait très envie, mais a deux les tâches de travail seraient plus vite terminés et ils allaient enfin pouvoir avoir une discussion sans aucun impératif, du moins il l'espérait. " Jte donne un coup de main, après on parle. Aucune excuse, aucune fuite ! " Lui dit-il en la regardant dans les yeux, il insista sur aucune excuse et aucune fuite pour bien lui faire comprendre que pour l'instant il se montrait patient, qu'il prenait ses nerfs en patience mais que tout ça n'allait certainement pas durer.

Sans un mot, il nettoya son atelier telle une vraie petite fée du Logie. Oui, Giuliano aime la propreté, il n'irait pas à se considérer comme un maniaque mais presque. Il jeta cependant des petits coupss d'oeil sur la magnifique brune. " Tu serais tellement plus jolie juste avec ton tablier, sans rien en dessous... " bah quoi ? C'est vrai... Elle est magnifique, elle lui plaît énormément et des idées pas très catholiques lui traversèrent l'esprit. C'était plus fort que lui, comme à son habitude il avait envie d'elle. Son envie était différente de celle qui pouvait ressentir pour d'autre femmes, elle il la voulait tout entière. Son corps, mais pas que. Il la veut à lui, juste pour lui. Il veut continuer de la découvrir, de passer du temps avec elle, de rigoler, s'amuser, de vivre tout simplement à deux. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas ressenti des sentiments aussi puissants pour une femme.




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Jeu 2 Avr - 18:02
DANS UNE DISCUSSION, SEUL LE PLUS SAGE SE TAIT.J'aime
et je sais répondre avec indifférence
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et rien ne le dit
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et seule je le sais
Et mon secret m'est cher
et chère ma souffrance
j'ai fait le serment d'aimer sans espérance.
( @GIULIANO T. RIVERA )
Tu as envie de vite en finir avec le ménage. Tu as envie de rentrer, de prendre une bonne douche, de te mettre en pyjama et de te laisser tomber sur le canapé, devant la télé avec n’importe quoi à manger. Puis tu as envie de te laisser sombrer, puis de te glisser sous la couette pour une bonne nuit de sommeil. Demain s’annonce être encore une journée bien compliquée. Tu espères voir tes employés absents aujourd’hui être présents demain, sinon tu vas te retrouver seule une partie de la journée et tu le sens, ça ne va pas être de la tarte… Et tu sais que tu ne pourras pas compter sur Ambre qui n’est là que deux jours par semaine dans le but de se faire un peu d’argent pendant ses études. La belle qui reste malgré la journée compliquée que vous venez de passer toutes les deux. Pendant que tu t’occupe de l’arrière boutique, elle reste devant, nettoyant le comptoir. Puis tu entends une voix masculine, une voix qui semble agacée. Une voix que tu connais ! Tu n’as pas le temps de les rejoindre qu’il est déjà là, à l’entrée de l’arrière boutique, Ambre sur ses talons, elle se confond d’excuses pour l’avoir laissé entrer, pour l’avoir laissé franchir le comptoir. Tu tentes de trouver une parade, histoire de gagner un peu de temps. Ce qui ne fonctionne pas, tu souris quand tu le vois attraper un tablier et l’enfiler. Ce grand fou a le don de te surprendre. C’est bien pour cela que tu as développé ces sentiments que tu ne peux lui avouer !
« Bien, laisses moi terminer et je suis à toi ! »
Vas-tu pouvoir y échapper encore une fois ? Tu reportes cette conversation depuis un moment déjà. Il n’a pas tort, tu l’évites, tu évites d’avoir cette conversation avec lui depuis ce fameux soir où il a tenté d’avoir cette fameuse discution avec toi. Depuis qu’il a commencé à parler de sentiments. Comment peux-tu te sortir de là sans qu’il pense que tu l’ai trahis… Ce n’est pas comme si tu avais choisit ces fiançailles. Si tu devais faire un choix, c’est lui que tu choisirais. Serais-tu prête à t’enfuir avec lui si il te le demandait ? Sans doute… Mais alors ta famille pourrait en pâtir, n’est-ce pas ? Tu dois trouver un moyen détourner de mettre fin à cet accord entre vos deux familles.

T’activant à faire ton nettoyage pour que le terrain soit prêt pour l’ouverture demain matin, tu le regardes du coin de l’oeil, te demandant si il se doute de toutes ces angoisses qui t’animent en ce moment même, alors qu’il se tient à tes côtés. Tu te demandes comment tu peux t’en sortir sans le perdre.
« Elle est encore douce et innocente, autant qu’elle en profite encore un peu ! »
Tu le regardes se rapprocher, te demandant pourquoi il vient à tes côtés, pensant que tu as déjà trop abusé de sa patience, tu supposes qu’il va te demander d’arrêter, pour avoir cette conversation que tu fuis. Mais non, il prend un torchon, du produit et s’active avec toi. Tu échappes un petit rire quand tu le vois faire, quand il t’explique qu’il t’aide, Il t’aide pour aller plus vite, pour discuter ensuite avec toi. Sans possibilité de fuite ou d’excuse possible. Et merde ! Peux-tu encore trouver une parade ? Peux-tu encore fuir ? Tu vas devoir être courageuse. Par respect pour lui. Lui dire que ton père, dans sa grande bonté d’âme, avant de s’en aller pour l’autre monde, avant d’enfin te laisser en paix, t’as offert un dernier cadeau empoissonné. Qui n’est autre qu’un fiancé… Et d’une famille ennemie à la sienne, pour couronner le tout ! Tu n’as pas tellement peur de sa réaction, de sa colère, du fait qu’il pourrait aller mettre une bonne raclée au bonhomme, au contraire, si ça peut l’aider à rompre les fiançailles, tu n’es pas contre… Mais tu as peur de le perdre. Qu’il s’en aille, qu’il ne veuille plus te voir à cause de cela. Comment vas-tu réagir si cela arrive ?

Tu le regardes du coin de l’oeil alors qu’il y a encore cette complicité coquine entre vous. Autant en profiter avant qu’elle ne t’échappe.
« Tu le serais tout autant mon grand fou ! Et ça peut toujours s’arranger ! »
Tu te mords la lèvres inférieures et tu lui tournes le dos. Quand il a ce regard là… Mais ce n’est pas le moment ! Quoi que… Si ça peut retarder le sujet qui fâche… Ce serait un bonus supplémentaire en plus du pied que vous prendriez ! Mais est-ce une bonne idée dans l’arrière boutique de la pâtisserie ? Là oû se trouve les ingrédients avec lesquels tu prépares les gâteaux que tu vends ensuite ? C’est une cuisine comme une autre. Les gens ne sont pas censés savoir ce que tu y fais, ni avec qui ! Tant que les biscuits restent comestibles, où est le mal… La tentation est grande !
« Il me reste le four, le sol est je suis à toi. »
Lui tournant le dos, tu fais le four, comme tu viens de le lui dire. Tu le fais tous les jours, voir même deux ou trois fois par jour, il sera vite fait. Quand il s’agit de nettoyer, tu es un peu maniaque sur les bords. Bien qu’en contradiction, niveau rangement, tu ais un petit côté bordélique. Le four terminé assez vite, comme promis, il faut que tu t’attaques au sol et la cuisine sera propre pour le prochain service !
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Ven 3 Avr - 17:58


“Dans une discussion, seul le plus sage se tait.”
Koraly & Giuliano

Pourquoi il a fallu qu'il tombe sur elle ? Pourquoi était-elle si différente des autres femmes ? Pourquoi éprouver des sentiments ? N'aurait-il pas plus tout simplement faire comme il a l'habitude de faire ? S'en foutre de tout, des femmes, de la vie, des sentiments. Tout aurait été tellement plus simple, plus facile. Aucune prise de tête, aucun doute.  Tout simplement la belle vie. Simple, pure, intense comme il aime. Sans devoir rendre des comptes à quelqu'un, enfin, couple ou pas couple, Tino ne rend jamais de compte. C'est un être humain entièrement libre que cela plaise ou non.

La belle Koraly avait su faire la différence auprès de son coeur de pierre. Un an qui la fréquente, un record pour le beau brin qui depuis sa dernière relation sérieuse se lasse extrêmement vite. Elle est tout simplement différente, unique. Elle a ce petit truc en plus qui lui donne envie de la connaître davantage, de la voir encore et encore. Oui, Tino aime cette femme même s'il est pour l'instant trop fier pour le crier haut et fort. Il aura essayé de lui en faire part, de lui dire qu'il tenait à elle. Qu'il voulait construire quelque chose à ses côtés mais la belle a fui. Il est maintenant temps de la prendre entre quatre yeux et avoir une véritable conversation. Il fallait qu'il sache la vérité, bonne ou mauvaise, il voulait tout savoir.

Son regard sûr de lui, ses paroles résonnèrent comme des ordres. Il ne lui laissait plus le choix, sa patience avait une certaine limite et elle avait atteint son seuil. Il hocha la tête, elle avait plutôt intérêt à ce qu'il est sa putin de conversation. "  La couvé ne sert à rien. Tu vas faire d'elle une personne faible, et les personnes faibles se font juste écraser par les autres. Mais bon c'est ton employé tu êtis ce dont tu en veux,  n'en ai rien à foutre. Je ne suis pas là pour ça. " Il s'approcha d'elle, dangereusement, avant de commencer à l'aider aux tâches ménagères. À deux les choses iront bien plus vite et il aura forcément sa discussion plus rapidement. Enfin, faut-il qu'il tienne encore tout ce temps.

Qu'est-ce qu'elle est belle ! Même énerver contre elle, il faut qu'elle lui fasse de l'effet. C'est impossible, elle a certainement dû faire un genre de vaudou ou  un autre truc bizarre de magie ! Giuliano être aussi perturbé par une femme . Non, elle a fait quelque chose, c'est obliger. Il n'est pas comme ça, il n'est pas si faible bien au contraire. Le jeune italien est un homme fort, qui contrôle tout jusqu'à ses propres sentiments. Alors là, pourquoi il n'y arrive pas ? " ouais ça peut toujours. On verra après notre discussion si j'en ai toujours envie.  " non, même le sexe ne le fera pas reculer dans le but de sa venue. Décidé à avoir ses réponses, Giuliano têtu, très têtu ne comptait pas se laisser déstabiliser. Elle n'avait plus le choix, cette fois-ci elle ne pouvait lui fuir.

Peut-être qu'elle n'en a rien à faire de lui . Elle a peut-être peur d'être avec un homme aussi fou que lui . Non ce n'est pas ça. Elle aurait fui depuis longtemps sinon. Avait-elle un autre homme dans sa vie ? Cela lui semblait plus logique. Loin d'être bête, Giuliano est un homme très observateur, dans l'analyse. Après tout il était peut-être juste son amant et rien de plus. Apparemment il aime bien jouer les parfaits amants, alors pourquoi pas une nouvelle fois ? Rien qu'à cette idée, son regarda s'assombrit, les traits de son visage se durcissent. Encore une fois la vie se jouer de lui, ou plutôt l'amour se joue de lui. Le four, le sol et quoi d'autre encore ? Non c'était trop.  " il s'appelle comment ?  " Lui balance-t-il en arrêtant ce qu'il était en train de faire. Debout en face d'elle, il croisa les bras attendant une réponse, réaction de sa part. Il n'était pas sur à cent pour cent qu'un autre homme se cacher derrière tout ça, mais a part ça il ne voyait pas de raison. Pêcher le faux pour avoir le vrai, sur de lui il ne laissa paraître aucun doute. Tino, un excellent acteur.

Il ne voulait pas la perdre, il tient bien trop à elle pour ne pas essayer de se battre un minimum. Il la veut, il la veut elle et pas une autre. Son coeur la choisit et par amour le jeune Italien serait près a énormément de choses. Des bonnes comme des mauvaises. Lorsqu'il aime une personne il ne fait pas semblant et attention aux personnes qui se frotte de trop près à eux. Son regard intensif ne la lâcher pas un seul instant. D'un mouvement circulaire de la tête il fit craqué sa nuque qui pour le coup était tout aussi tendu que lui.



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Sam 4 Avr - 12:13
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( @GIULIANO T. RIVERA )
Tu le sais que cette fois, tu ne vas pas pouvoir y échapper. Tu le sais, tu le comprends bien vite, ce n’est pas le style de Giu de venir en personne pour enfiler des perles. Ou en l’occurrence, ici, faire le ménage avec toi ! Déjà qu’il te surprend à enfiler un tablier pour t’aider. Lui qui est si fier, si viril, tu ne t’attendais pas à cela de sa part. Tu pensais vraiment qu’il irait s’asseoir à une table dans la petite salle de ta pâtisserie et qu’il gueulerait depuis là-bas pour savoir où tu en es. Mais non, il a le don de te surprendre et cela te fait craquer. À ce stade, ce n’est plus que tu en pince pour lui, tu es peut être bien totalement tombée amoureuse de cet homme. Tu sais déjà qu’il n’y a que lui qui compte réellement dans ta vie. Même si ton fiancé devrait compter, ce n’est pas le cas. Tu ne lui laisses même pas la chance de te connaître. Tu ne souhaites pas faire sa connaissance. Qu’importe qu’il soit adorable, attentionné, qu’il puisse t’aimer d’un amour sincère, tout ça, tu n’y crois pas. Ce n’est pas votre décision mais celle de vos deux pères qui voulais unir leur famille. Peu importe qu’il soit charmant, tu ne te feras jamais à l’idée que ce soit ton père qui l’ai choisit pour toi !

Tu lèves les yeux au plafond, vous n’êtes pas toujours d’accord sur tout, tous les deux. Et concernant la petite demoiselle que tu emplois, oui, tu as envie de la couver cette petite, tu sais qu’elle a perdu ses parents et qu’elle se bat seule pour se forger un avenir en travaillant pour toi afin de payer ses études. Tu sais que c’est déjà beaucoup. Tu n’as jamais connu cette difficulté étant née dans cette famille plus qu’aisée bien que dysfonctionnelle. Et toi, tu as décidé de ne pas poursuivre tes études de commerce. Ce qui t’intéressait peu, il faut l’avouer. Tu rêvais déjà de te détacher de ta famille, de tes parents. Pourtant, ça ne t’a pas empêchée de leur mentir, de leur dire que tu avais obtenue ton diplôme, que tu étais la gérante d’une chaîne de pâtisserie et non que tu étais la pâtissière en question. Mais qu’importe, tu es heureuse de faire ce que tu fais !
« Crois moi, elle est bien plus forte que tu ne le penses. Et puis nous les femmes, on aime bien se sentir protégée par un homme fort ! »
Tu le regardes des pieds à la tête, tu lui lance ce petit regard plein de sous entendu. Bien sûr que tu es loin d’être faible comme femme, mais tu aimes bien savoir qu’il est là pour te protéger au besoin.

Il y tient vraiment à cette discution. Tu savais qu’il voudrait mettre les choses à plat. Tu savais que tu ne pourrais y échapper encore bien longtemps. Tu te doutes que de le fuir comme tu le fais depuis ce fameux soir où il a tenté de te faire part de sentiments qu’il a pour toi, ça n’allait pas lui plaire. Et pour te dire que la conversation passe avant les petites coquineries, c’est vraiment qu’il y tient et que cette fois, tu ne vas pas pouvoir repousser avec une petite manipulation. Tu redoutes l’instant où tu vas lui dire que ton père t’a fiancée. Que tu ne sais pas comment t’en sortir et qu’en plus, ce fiancé est d’une famille ennemie à la sienne. Une famille à laquelle ton père s’est toujours relié, voulant détrôner son beau-frère à la tête de la ville. Il avait besoin d’une alliance solide pour cela. Et se voyant partir, il a décidé de prendre les choses en main. Tout cela à tes dépends. Ton bonheur lui importe peu, tant que sa famille reste puissante et influente. Comment t’en sortir sans que ton frère perde l’entreprise. Ta mère ne te pardonnerai pas non plus. Tu dois réussir à dégoûter cet homme de toi pour que cela vienne de lui. Ta famille n’aura alors rien à craindre !

T’attaquant au four, tu as bientôt terminé. Tu pourrais faire exprès de le nettoyer doucement pour repousser un peu l’échéance, mais ça n’aurait pour conséquence que de le rendre encore plus impatient. Déjà qu’il te semble sur le point d’exploser. Ce qu’il ne tarde pas à faire finalement. Venant se planter en face de toi et te demandant comment il s’appelle. Ce qui a le don de te faire sursauter et tu te cognes contre le petit meuble à côté duquel tu récupères le balais pour commencer le sol. Non, tu ne vas pas continuer, tu t’arrêtes alors que vous vous tenez l’un en face de l’autre, à quelques centimètres. Qu’il est beau quand il a cette moue en colère. Mais à quoi tu penses, ce n’est vraiment pas le moment Koraly ! Est-il au courant ? Si une annonce avait été faite, il ne te demanderait pas son prénom. Et la fête de vos fiançailles n’est pas prévus avant le mois prochain… Tu prends une grande inspiration pour te donner du courage.
« Si tu parles de l’homme que je désire, il s’appelle Giu, il a une grande gueule, une belle musculature et un cul à croquer ! »
C’est lui, c’est toujours lui que tu désires. C’est encore lui qui a réussi à faire fondre ce coeur de glace alors que tu t’étais promis de ne plus jamais aimer après le décès de ton premier amour.

Tu soupires, car pourtant, tu lui caches bien quelque chose de terrible. Tu as beau le vouloir lui, la situation est compliquée. Tu ne peux plus le lui cacher. Tu dois lui avouer. Tu cherches tes mots, tu ne veux pas qu’il parte, qu’il t’oublie. Tu t’approches encore un peu de lui, venant poser ta main sur sa joue, comme si tu pouvais le toucher pour la dernière fois avant qu’il ne parte pour ne plus venir te revoir après ce que tu vas lui avouer…
« Ce n’est pas toi que je fuis, pas vraiment, c’est nous ! Je n’ai pas sue comment réagir l’autre soir, après que tu m’ais dit ces mots. J’étais si heureuse et terrifiée à la fois. Je ne m’y attendais pas. Giu, si je t’ai fuie, c’est aussi à cause de ma famille. Dans sa grand générosité, mon père a eu la brillante idée de me fiancer. Je me suis dit qu’il serait plus simple de ne plus se voir, que tu m’oublies pour ne pas que je te fasse souffrir… Mais j’en suis incapable… Giu, c’est toi que j’aime. »
Les mots ont du mal à sortir. Tu as les larmes qui commencent à perler à tes yeux, comme si tu sentais qu'après cet avoeux, tu allais le perdre. Tu sens déjà ton coeur qui se déchire à l'imaginer partir sans se retourner.
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Sam 4 Avr - 19:48


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Koraly & Giuliano

Les femmes toujours la cause d'un problème. Lorsque deux hommes se disputent, il se cache la plupart du temps une femme derrière tout ça. Des familles qui se déchire depuis des années, encore une fois la faute à qui ? À une femme. Une peine de coeur, l'esprit ailleurs encore et toujours une femme se trouve par ici. Ces derniers jours, Giuliano vivait lui aussi avec un poids sur les épaules dut à une femme. Une femme qu'il affectionne particulièrement. Une femme qui lui fait tourner la tête. Une femme dont-il est tombé amoureux. L'amour, un sentiment à la fois merveilleux et méprisant. Il n'a jamais été facile de vivre une histoire d'amour parfaite, du moins ça n'a jamais été son cas et il en avait une nouvelle fois la preuve aujourd'hui.

Prendre la fuite, quelque chose que le jeune homme a énormément de mal à accepter et à comprendre. Pour lui ce sont les faibles qui fuient, les forts eux restent debout couter que coute, ils se battent jusqu'au bout et ne lâchent rien. Alors pourquoi prenait-elle la fuite à chaque fois qu'il se trouve dans les parages ? Est-elle faible ? Avait-elle peur ? Koraly n'était pas une femme faible, elle ne lui a jamais montré cet aspect-là d'elle. S'était-il trompé à son sujet ? Il avait besoin d'en avoir le coeur net. Elle reste une femme, une femme qui aura toujours besoin d'être protégée par un homme fort et viril comme elle venait de lui préciser. Un léger sourire vient inconsciemment se confondre sur son visage agacé. " mouais " Lassa-t-il échappé de sa bouche d'un air pas sur. Elle avait raison, il savait parfaitement que toutes femmes avaient besoin des bras d'un homme mais dans un élan de fierté et d'agacement il lui était bien trop dur de confirmer ses dires.

Qu'est-ce qu'il était ridicule avec son tablier et son chiffon à la main. Une véritable bonne petite femme. Bordel Giuliano ce n'est pas toi ça, tu y tiens vraiment à ta discussion et surtout tu tiens vraiment à elle pour faire tout ça. Le beau brin s'activa à tout nettoyer, plus vite c'était fait mieux c'était. Il jeta de temps à autre des petits regards sur Koraly, il avait beau être énervé contre elle, il n'arrivait pas à lui en vouloir. Et pourtant, il aurait préféré. Tout serait tellement plus simple, plus facile. Lorsqu'elle lui répondu à sa question, bien enfoui au fond de lui, il en était que ravis de l'entendre flatter son ego. " Ne commence pas ! " Dit-il lui faisant comprendre qu'il n'avait pas envie de plaisante aujourd'hui ou encore moins la voir essayer de prendre encore une fois la fuite. Ce n'est pas ce qu'il avait envie d'entendre à ce moment précis. Il la désirait aussi, il ne serait pas venue ici s'il en avait rien à foutre d'elle. Il ne chercherait pas à la comprendre et faire un point sur leurs relations.

Toujours ses bras croisés, il ne broncha pas d'un fils. Ses sourcils légèrement arqués, il redoutait ce qu'il allait entendre. Il avait bien raison. Il la laissa se rapproche de lui, posant sa main sur sa joue. Son regard rempli d'émotions d'incertitude, de craintes, de peurs, viens se mélanger aux siens. Sans dire un mot, sans le coupé dans ses explications, Giuliano ouvrit bien grands ses oreilles pour ne pas loupé une seule minette de ce qu'elle lui disait. Le début était plutôt correct, elle ne le fuyait pas vraiment, elle avait peur. C'est bien ce qui lui semblait, mais peur de quoi... Visiblement de sa famille qui apparemment ... Quoi ? Non, elle se fout de lui. D'un mouvement de la tête il retira sa main de sa joue.  Ses émotions étaient partagées entre la haine, la colère qu'il peut ressentir. Non pas contre elle principalement mais plutôt contre sa famille. Et entre le désespoir, encore une fois cupidon se foutait bien de sa gueule. " Tu te fou de moi là ?! Tu es fiancé et tu me le dis que maintenant ! Je suppose que tu ne l'a pas appris hier que tu allais te marier ! " Il fit quelques petits pas en arrière, il n'avait pas envie de sentir son odeur, sentir la chaleur se dégager de son coeur. À ce moment même il n'avait qu'une seule envie, tout casser. Taper quelques choses, un sac de frappe, un mec dans la rue, son putin de fiancé de merde ! Les traits de son visage  étaient de plus en plus durs, son regard sombre. " Dans tout ce que tu viens de dire, tu as raison sur seulement une chose. Je vais t'oublier sa sera plus simple. " Il la regarda une dernière fois, avant de retirer son tablier et de le jeter à même le sol d'un geste intense, rempli de colère. " j'ai faillis oublié, félicitation et surtout n'oublie pas de m'envoyer l'invitation !  " sur ces mots il prit la direction de la sortie.

Une fois à l'extérieur, Giuliano regrettait déjà ce qu'il venait de lui dire. Sa façon de réagir avait été légèrement excessive, il le reconnaît elle n'y était pour rien. Elle n'avait pas choisi de ce fiancé et il était assez intelligent pour le comprendre. Mais toutes ses nouvelles étaient pour lui des trop pleins d'émotion qu'il ne sut tempérer. Son esprit lui disait de partir, partir loin d'ici, loin d'elle. Son coeur lui, lui dictait tout le contraire. Plus fort que lui, il lui était impossible de partir. Planté devant la boutique, Giuliano fut entièrement perdu. Allumant sa cigarette, il commença alors à faire les cent pas de part et d'autres de la boutique pour terminer de l'autre côté de la route, adossé à un arbre. Qui allait d'ici très peu de temps finir par être son souffre-douleur.  Énerver, se sentant trahie, il avait besoin d'évacuer toutes cette haine. Sa clope au bec, il commença alors à frapper de ses poings dans l'arbre qui lui fit office de sac de frappe. A cette instant même plus rien n'existait au tour de lui, plus rien hormis lui, ses points, l'arbre.


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Dim 5 Avr - 16:34
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et chère ma souffrance
j'ai fait le serment d'aimer sans espérance.
( @GIULIANO T. RIVERA )
Tu sais que c’était mal de ne pas le lui dire la vérité tout de suite. Que c’était mal de le fuir pour éviter d’entendre ce qu’il voulait te dire. Tu l’as fuis pour ne pas entendre ces mots que tu voulais pourtant tant entendre venant de lui. Des mots que tu aurais aimé lui dire aussi. Mais ton père sait si bien gâcher ta vie. Toute ton enfance, tu as travaillé dure à l’école pour le rendre fier. Si dure que tu ne te faisais pas vraiment d’amis en classe, les autres disant de toi tout et n’importe quoi. La fille qui se rendait inatteignable pour être et rester la meilleure et pour que son père lui dise enfin combien il était fier d’avoir une fille comme toi. Tu as toujours travaillé en cours dans ce but précis. Étant l’aînée, tu te savais responsable de l’avenir de la famille, de l’entreprise. Puis entrant au lycée, tes rêves et tes espoirs d’avenirs ont été piétiné par cet homme, ton père. Annonçant fièrement qu’un beau jour, ton frère prendrait sa suite. Tu as eu ta période rebelle. Tu voulais qu’il réagisse. Mais ton père n’en avait que pour lui, ton frère. Ça aurait été mieux qu’il en reste ainsi. Pourquoi toi, pourquoi te choisir toi pour renforcer les liens entre ta famille et cette famille. Ton frère aurait put, aussi occuper ce rôle… Il faut croire que ton père t’a toujours prise pour sa petite poupée. Belle et qui doit se taire !

Tu t’occupes à faire le ménage, l’air de rien. Tu ne veux rien laisser paraître. Tu ne veux pas qu’il comprenne la folie qui t’anime quand il est à tes côtés. Cette envie que tu as de lui sauter dessus, de l’embrasser. Tu pousses un petit soupire discret, tentant d’oublier cette proximité entre vous. Tu discutes avec lui de ta petite employée. De ce côté qu’on les femmes a aimer se sentir protéger par un homme. Un homme qu’elle apprécie particulièrement. Tu n’as pas eu cette image de l’homme protecteur avec ton père, ni avec ton petit frère, avec lequel tu étais plutôt en compétition. Il y a eu ce premier petit copain, dont tu t’es servis pour faire rager ton père. Lui aussi se servait de toi et n’a pas hésité à te jeter quand il a eu ce qu’il voulait alors que tu commençais à être amoureuse. Et un autre, puis le bon. Celui avec qui tu voyais un avenir. Lui aussi t’a quitté, pour ne jamais revenir. Il est partit dans un autre monde, alors que tout devenait vraiment sérieux entre vous. Il y a eu des histoires sans lendemain. Tu ne pensais plus pouvoir ressentir cela de nouveau. Puis, il y a eu Giu. Il a comblé le trou qui s’était créé dans ton coeur. Tu ne pensais pas pouvoir t’attacher à lui et aujourd’hui tu n’as qu’une peur, c’est de le perdre. Tu le regardes avec un peu de peine au fond des yeux quand il te dit de ne pas commencer. C’est pourtant la stricte vérité, tu le désires comme une folle.

Bien sûr qu’il est en colère, tu t’attendais à quoi ma pauvre fille ! Qu’il te prenne dans ses bras, qu’il te dise qu’il t’aime, qu’il va se battre pour toi ? N’importe quoi ma pauvre. Giu n’est pas un homme comme ça, maintenant qu’il a eu ce qu’il voulait, maintenant qu’il a eu ton joli petit cul et qu’il sait ce cul fiancé et destiné à un autre, pourquoi continuerait-il a se faire chier avec toi ! Tu dois arrêter de croire qu’il est ton prince charmant ! Il voulait passer un bon moment avec toi. Quand tu le vois reculer, tu sens que tu le perds… Tu fronces les sourcils.
« Tu crois que c’est ce que je désire ? Tu crois vraiment que j’ai envie de me marier ? »
Le croit-il vraiment ? Pense-t-il que tu en ais envie ? Comment peut-il le croire… Tu sens ton coeur se déchirer de nouveau. Tu n’aurais pas dû autant t’attacher à lui. Était-ce prévu que votre histoire se termine avant même de réellement commencer ? Tu le sens s’éloigner. Tu sens que tu l’as perdu… C’est trop tard maintenant. Il va faire ce qu’il te dit. Partir et t’oublier. Trouver une autre belle nana, se l’envoyer. Pensait-il ce qu’il t’a dit l’autre jour ? Ou était-ce une manipulation pour te garder dans son lit… Tu ne veux pas le croire, tu tiens beaucoup trop à lui. Tu le regardes partir alors que les larmes coules le long de tes joues. Tu le suis, tu veux le rattraper, le retenir. Mais tu le sens en colère, tu le sens hors de lui. Après tout, tu lui as mentis… Il a le droit de t’en vouloir et de ne plus avoir envie d’entendre parler de toi. Le coeur en morceau, tu retournes dans l’arrière boutique pour faire le sol. Tu te laisses aller contre le mur. Prenant quelques minutes pour pleurer.

Tu finis par réussir à terminer ton ménage. Ton maquillage a coulé, mais tant pis. Tu vas rentrer chez toi, tu glisser sous la douche et dormir directement. Tu n’as plus envie de rien. Tu as perdu l’homme que tu penses aimer, que tu aurais put aimer plus que de raison. Tu quittes la pâtisserie, tu le vois, contre un arbre sur le trottoir d’en face. Tu t’approches, allant te mettre entre lui et l’arbre pour qu’il arrête de se faire du mal en frappant l’arbre. Tu te prends un coup involontaire, mais qu’importe puisque tu arrives à l’arrêter, prenant ses mains endoloris dans les tiennes. Tu as cette peine, ton coeur se brise encore un peu plus. C’est tout ce que tu voulais éviter en ne lui disant pas pour tes fiançailles forcées…
« Allé viens, il faut désinfecter. Et ne me dit pas non, je ne te laisse pas le choix, tu viens ! »
Tu n’attends pas qu’il te réponde, ni qu’il te repousse, tu l’attrapes pour le forcer à revenir à la boutique où tu as une trousse de premier secours dans laquelle tu trouveras ce qu’il faut pour désinfecter ses poings en sang. De retour dans la pâtisserie, tu le fait s’asseoir à une table et tu vas prendre la trousse. Tu imbibes une compresse de bétadine et tu commences à la tapoter sur ses phalanges.
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Mer 8 Avr - 13:53


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Koraly & Giuliano

Le mensonge, au même niveau que la tromperie. Une trahison que le jeune homme à énormément de mal à accepter, à digérer. Pourquoi mentir ? Pourquoi fuir ? Une personne forte ne fuit pas, elle affronte tête contre tête les problèmes. Elle ouvre sa bouche et dit les choses que cela plaise ou non. Oui, Giuliano lui en voulait. Il lui en voulait de lui avoir caché la vérité, de ne même pas avoir essayé de lui faire comprendre les choses. Il aura fallu qu'il lui sorte les vers du nez pour avoir enfin des explications. Des explications un passage, qu'il aurait peut-être préféré ne pas entendre.

Et malgré sa fuite, sa peur de lui parler, il en pince toujours autant pour elle. Encore mieux, le fait d'être à deux doigts de la perdre, lui donna une rage incomprise. Lui donnant davantage l'envie de se battre. Tel dans un ring, le jeune italien comptait bien se battre jusqu'au bout. Coute que coute. Comme Rocky l'a dit : "Ce qui compte, ce n'est pas la force des coups que tu donnes, c'est le nombre de coups que tu encaisses tout en continuant d'avancer. Ce que t'arrives à endurer tout en marchant la tête haute". Il avait tout à fait raison. Peut importe les coups qui l'atteindront il continuera de se battre la tête haute. Lui contre le fiancé, lui contre le père. Deux contre un, l'égalité n'était pas respectée mais rien n'effraie Giuliano, plus motivé que jamais. Un combat à trois, avec pour seul juge le coeur de la belle Koraly. Les évènements à venir risquaient d'être riche en sensation.

Tout se bouscula dans sa tête, se voyant déjà entrain d'éclater des gueules sur le sol. À ce moment même, une seule couleur berçait son esprit : le noir. Il l'entendit parler mais il ne l'écouta pas étant loin dans ses pensés remplis de haine et de désespoir. Il hocha positivement la tête laissant échappé un simple. "Ouais !" Ouais à quoi ? Même lui il ne savait pas, il l'avait entendu parler et il répondait sans savoir ce qu'elle venait de lui dire.

L'envie de tout casser. L'envie de taper des poings. L'envie de se défouler, peu importe la manière. Il fallait qu'il trouve quelque chose à faire, qu'il sorte d'ici. Qu'il s'éloigne d'elle. Jetant son tablier à même le sol, il sortit de la pâtisserie. D'abord la poubelle, victime de ses coups de pied. Ensuite l'arbre, ce pauvre arbre qui n'avait rien demandé vient subir les poings robustes du jeune homme qui avait besoin d'évacuer une rage extrême. Plus rien n'existe au tour de lui, coupé entièrement du monde. Il se retrouva seul, en tête à tête avec son plus grand antidépresseur la boxe. L'ancien joueur professionnel abîma davantage ses mains que son adversaire. Dans le feu de l'action, il ne remarqua pas que Koraly l'avait rejoint. Non, ne fais pas ça ! Lorsqu'il est dans de tels états il est dans sa bulle et il risque, sans le vouloir, lui foutre une droite. Et voilà, chose qui arriva. Par chance, si on peut dire ça ainsi, il se rendit compte à la dernière seconde où elle se tenait là devant lui. Il essaya de freiner son action, mais impossible de la stopper. Aussi tôt l'inquiétude l'envahit.  " Désolé, je t'ai pas vu arrivé. ça va ? Tu vas bien ?" L'avantage c'est qu'il était bel et bien sortie de ses pensées et revenue dans la réalité. Culpabilisant, sans dire un mot il la suivit pour qu'elle puisse lui désinfecter les mains.

Un simple bobo comme celui-ci, il n'avait pas besoin d'être soigné. Il avait connu bien pire, bien plus grave. Cependant il la laissa faire, après tout ça pouvait lui faire plaisir de jouer aux infirmières, il est prêt à faire son patient même s'il déteste ça. Que c'est beau l'amour, enfin presque.  " Tu vas vraiment te marier . Sérieusement Koraly tu ne peux pas faire ça." Assis, il leva la tête pour pouvoir la regarder. Bien sur qu'il était toujours énervé même si lui avoir mis une droite là drôlement faite redescendre.  "Je te laisserai pas faire, je ne resterai pas là sans rien faire, sans me battre." le combat tel qui soit, il est présent par tout au tour de nous. Il était contre ces fiançailles, il était contre le fait qu'elle puisse appartenir à un autre homme que lui. " dit moi que ce n'est pas ce que tu veux, dit moi tu n'as pas envie de te marier avec l'autre con."  Il ne voulait pas croire qu'elle puisse être d'accord avec ça. Non, pas après lui avoir dit qu'elle l'aime. Il avait espoir et surtout l'envie de croire qu'elle ne se jouer pas de lui, qu'elle était sincère.


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Jeu 9 Avr - 12:38
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( @GIULIANO T. RIVERA )
Tu devait t’y attendre, qu’il le prendrait ainsi ! Tu n’as pas très bien agit toi non plus après que tu ais apprit la nouvelle de tes fiançailles. Si ton père n’avait pas annoncé son cancer et la fin de sa vie prochainement, juste avant cette super grande nouvelle, tu te serais sûrement enfuie ! Au début, tu n’as rien voulu lui dire, tu pensais que c’était une belle aventure et tu ne voulais pas le perdre. Peut être bien que tu es en train de tomber amoureuse, mais tu t’interdisait de le reconnaître, autant devant lui que pour toi-même. Ça aurait été trop difficile de le reconnaître. Tu espérais tant que ces fiançailles soient une blague. De très mauvais goût… mais tu l’espérais. Tu a attendue qu’on te dise que c’était un délire de ton père, dû aux médicaments qu’il prenait. La chimio, les rayons, ces conneries qu’il a abandonné sur les derniers mois, ne sachant de toute façon condamné. Et comme pour se foutre de toi, ce même soir, tu l’a retrouvé, lui, l’homme dont tu tombes peu à peu amoureuse, il a voulu te parler. Te parler de sentiments. Tu ne voulais pas entendre, tu ne voulais pas craquer, pas le perdre ! Tu as préféré prendre la fuite plutôt que de lui dire la vérité. Alors bien sûr qu’il le prend mal, il a le droit de le prendre mal ! Ce n’était peut être pas la bonne solution, mais tu ne voulais pas lui dire, tu ne voulais pas qu’il s’éloigne de toi. C’était idiot comme tu as prit toi-même tes distances avec lui. Souffrant de ton côté, de son absence, de vos moments à vous, cette simple envie de le voir. Oui, tu as eu peur de lui dire que ton père, une fois de plus, foutait ta vie en l’air. Alors que justement, tu avais trouvé ton petit bonheur avec ta pâtisserie et lui. Surtout lui !

Ouais, c’est tout ce qu’il te répond. Alors il le pense, il le pense vraiment. Il croit que tu l’as trompé en ne lui disant pas cette atroce vérité. Il croit vraiment que ces fiançailles ont de l’importance pour toi. Que tu songes réellement te marier avec cet homme. Homme que tu refuses pourtant de voir malgré de nombreuses invitations. Tu espères encore t’en sortir, la fête de vos fiançailles n’ayant pas encore eu lieu. Tu souhaites, que tout comme toi, il se refuse à cette éventualité qui ne t’attire guerre. Blessée qu’il te pense comme ça, tu le laisses partir, à contre coeur, tu le suis, mais tu te ravise, ne voulant pas t’en prendre plus encore dans la figure. Tu retournes seule dans l’arrière boutique, ramassant son tablier, te laissant glisser contre un mur pour t’effondrer en larmes. Tu savais que tu finirais par le perdre. Après quelques minutes, tu te relèves, tu vas accrocher le tablier qu’il portait avant de te remettre au ménage. Il ne te reste pas grand-chose. Seulement le sol. C’est vite fait. Une quinzaine de minutes plus tard, tu es dehors, tu le vois, il est toujours là. Pourquoi ? Pourquoi est-il encore là ? Pourquoi frappe-t-il contre un arbre ? S’imagine-t-il que tu es cet arbre ? Tu le sais en colère, tu sais qu’il ne frapperait jamais une femme, c’est peut être sa manière d’extérioriser la colère qu’il a envers toi, envers tes cachotteries. Mais tu ne veux pas. Tu ne peux pas le regarder se faire du mal. Alors tu t’interposes, tu te mets entre lui et l’arbre pour qu’il arrête de se blesser en cognant l’arbre avec ses poings. Tu t’en prends un, mais peu importe, tu sais qu’il ne le voulait pas, tu ne peux pas lui en vouloir.

Il s’excuse, tu sais qu’il s’en veut pour ce coup, mais il n’a pas à s’en vouloir.
« Oui, ça va. Je suis solide et je l’ai mérité. Maintenant, s’il te plaît viens avec moi et laisses moi te soigner ! »
Tu poses tes mains sur les siennes, tu l’embarques avec toi dans la boutique pour désinfecter ses mains en sang. Tu sais qu’il a connu pire quand il faisait de la boxe ou même pour d’autres bagarres. Giu, c’est ton grand fou ! Un grand fou qui a le sang chaud ! Ce n’est pas la première fois qu’il saigne et sans doute pas la dernière, mais tu as mal de le voir dans cet état. Et à ton grand étonnement, pour ton plus grand plaisir, il se laisse faire alors que tu t’attendais à ce qu’il te repousse. C’est Giu, il est plutôt fier et ne se laisse pas facilement faire, surtout quand il est remonté. Alors que tu es allé chercher tout le nécessaire pour soigner ses mains endoloris, tu te concentres sur ce que tu fais, évitant de relever le regard vers lui, tu ne veux pas qu’il voit que tu as craqué, que ton maquillage a coulé. tu l’écoutes pourtant d’une oreille attentive. Bien sûr que tu ne souhaites pas te marier, pas avec l’homme que ton père a choisit sans te consulter.
« Si l’envie de me marier me prenait, ce ne serait certainement pas avec lui... »
Ho non, certainement pas. Pas que tu ne l’aimes pas, tu ne lui laisses absolument aucune chance, refusant de le voir. Mais ton coeur en a choisit un autre et ce sera lui. Mais peux-tu le lui dire après l’avoeux terrible que tu viens de lui révéler ? Comment le prendrait-il ? Penserait-il que tu te fou de lui ? Très probablement. Alors c’est mieux si tu gardes le silence. En tout cas, pour le moment, jusqu’à que tu trouves la solution pour rompre tes fiançailles sans que cela ne retombe sur ta famille, sur ton frère, qui risquerait de perdre l’entreprise. Si ton père se trouvait encore à la tête de celle-ci, tu aurais tout envoyer bouler sans te poser de question. Mais ton fère, lui ne l’a pas mérité. Malgré qu’il ai prit la place que tu pensais mériter du fait d’être l’aînée, tu ne peux pas lui en vouloir. Il reste ton frère et lui aussi, a subit les frasques de votre père ! Il t’arrache un sourire quand il dit qu’il ne te laissera pas faire cette bêtise. qu’il se battra, qu’il ne restera pas là, sans rien faire. Si tu lui confirmes que tu ne le souhaites pas.
« Non Giu ! Je ne le souhaite pas. Je tente de me battre comme je peux sans pour autant que mon comportement ‘’enfantin’’ comme ils l’ont qualifié, ne retombe sur ma famille. Je ne peux pas rompre le contrat que mon père a signé pour moi sans que mon frère ne perde l’entreprise. C’est notre entreprise, son entreprise plutôt… Je ne peux pas lui faire ça. C'est mon frère ! Il faut que ça vienne de lui, de l’autre. C’est bien pour cela que je me refuse de le rencontrer ! »
En tout, depuis cette fameuse annonce, tu n’as dû le voir qu’une ou deux fois, lors d’un dîner de famille. Et tout a tout fait pour ne jamais te retrouver seule en sa présence, le fuyant chaque fois qu’il t’approchait.
« Il n’est pas l’homme que j’aime et ne le sera jamais. Parce que celui-ci se tient là, en face de moi ! »
Tu lui as dit. Tu lui as enfin dit !
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Mer 15 Avr - 21:57


“Dans une discussion, seul le plus sage se tait.”
Koraly & Giuliano

La vie se fou clairement de lui, ou plutôt cupidon se fou royalement de lui avec ces flèches empoisonnées. Elle allait se marier, se marier à un homme qu'elle n'apprécie même pas. Encore si elle en était amoureuse, qu'elle ne voyait que par lui, les choses auraient été bien plus simple. Certes, difficile à accepter mais au moins il aurait eu ses réponses et serait où il doit aller. Koraly le désire, elle ne désire que lui mais comment être sur de ses dires. Comment savoir s'il doit se battre pour elle, ou l'envoyer sur les roses. À la fois perdu et rempli de haine, Giuliano préféra partie loin d'elle.

Il ne lui fallut pas grand-chose pour exploser. Un arbre croissant son regard et c'est ses poings qui vient abimer son tronc. Quelques secondes, quelques minutes, il n'a plus aucune notion du temps. Seul dans son univers, le jeune homme se détend petit à petit.  C'est lorsqu'il sentit ses poings sur une surface bien plus douce et moelle que l'arbre qu'il sort de ses pensées aussi tôt l'inquiétude de lui avoir fait mal prit le dessus. Aussi tôt des excuses sorties de sa bouche. Rassurante, comme à son habitude, Koraly lui assura qu'elle était solide. Il hocha positivement la tête et l'accompagna jusqu'à l'intérieur de sa boutique.

Se soigner n'est pas son fort, il accepte cependant dans un but précis. Avoir des réponses, savoir ce qu'elle pense de toute cette histoire. Est-elle d'accord ? Veut-elle vraiment se marier avec un inconnu . Et lui dans tout ça, il est quoi pour elle . S'installant sur l'une des chaises, il essaya de capter son regard mais en vains. Encore, elle le fuit. Un léger soupiré se fit entendre avant de lui poser des questions. Tant pis s'il ne pouvait pas voir son visage.

Elle s'en faisait donc pour son image aux prés de sa famille. Soupirant, il ne la comprend pas. " Tu t'en fis pour le jugement de ta famille alors qu'eux ils sont prêts à te marier avec la première venue, sérieusement ! Pense à toi, arrête de penser à ta famille. Ils te considèreraient un peu plus, ils ne t'auraient jamais imposé une telle chose !" Oui, monsieur Rivera est énervé et cela s'entend. Il ne pèse pas ses mots, peu importe s'ils sont durs à entendre ou qu'ils peuvent blesser. Et maintenant que son frère rentre en jeu. Décidément, Giuliano risquait de ne pas aimer ses proches. Il ne comprenait pas comment des personnes qui sont sensées s'aimer peuvent agir de la sorte. " L'entreprise est à ta famille mariage ou pas mariage Koraly. C'est la place de ton frère et que tu te maries ou non ça ne changera rien. C'est lui le fils de ton père et non l'autre enfoiré qui te sert de fiancer. " Il la regarda, ou plutôt regarda ces cheveux, sa tête toujours plonger sur ses soins. Elle l'aime. À ces mots, Giuliano sent une décharge électrique lui parcourir le corps. Il attrapa se quels tiens dans les mains pour les déposer sur la table. Fini les soins, ça a assez duré. Il posa deux doigts sur son menton pour lui redresser la tête. " Je n'ai pas bien compris..." Lui dit-il en la regardant dans les yeux. Sa voix fut bien plus douce tout à coup.  Du bout de son pouce, il lui essuya une trace de mascara au coin de l'oeil qui avait coulé. Il avait besoin d'être sur. Il voulait l'entendre lui dire clairement qu'elle l'aime.  


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